box de Nelson

Aujourd'hui, j'allais sortir mon petit poney gris. Nelson, six petites années, mais pourtant très grand par le talent. C'était le seconde fois que j'allais le monter, en comptant la visite d'achat, et j'avais hâte de retrouver les sensations que j'avais eu lors de la visite. Un poney qui a du punch et qui bondit partout. Je l'avais acheté en partie à cause de ses performances physique, idéal pour sortir en CSO. De plus, il était très calme et pas méchant pour un sous. Certes, il fallait quand même savoir le gérer pour ne pas qu'il explose mais il était vraiment gentil et sautait vraiment très bien. Je l'avais vu évoluer en liberté et à ma grande surprise, les un mètre trente, c'était de la rigolade. Mais pour une première séance, j'allais faire une petite détente et sauter d'abord quelques obstacles isolés, puis, un double pour voir sa réaction à l'intérieur. Je ne l'avais tester que sur un vertical, puis, ou oxer, je voulais voir sa manière de faire dans une combinaison. Je ne mettrai pas les obstacles à plus de un mètre pour y aller mollo. En ne se connaissait pas encore entièrement et je ne voulais pas le bloquer pour une raison ridicule, surtout qu'il a un vrai don pour le saut. Je me dépêchais d'enfiler ma tenue d'équitation et demandais à ma mère si elle était prête pour m'emmener. Au bout de cinq minutes, elle monta dans la voiture, moi à côté. Mon moral était au bon fixe avec ce temps radieux. J'avais hâte de retrouver mes petits chevaux. J'arrivai rapidement au haras, toute contente. Je fis la bise à ma mère et sortis de la voiture. Le haras de Pado avait fier allure. Des bâtiments neufs de hautes qualités, de magnifiques chevaux bien entretenus... Le rêve. Je filais vers mon domaine pour aller voir mes chevaux qui n'étaient pas sortis au paddock. A part Calamity, Atypique et Rasta Rocket, chacun de mes chevaux étaient sortis au moins une heure au paddock et souvent plus selon mes demandes et les chevaux. Nelson, lui, y restait simplement cinq heures, le temps d'une matinée ou d'une après-midi. Comme il était dix-spet heures, il avait dû être sorti ce matin. Je me dirigeai vers la seconde écurie. Et oui, c'était fait. Maintenant, les chevaux du domaine d’Éternel vivait dans la seconde écurie, donnant sur l'extérieur. C'était beaucoup mieux pour plusieurs raisons : les chevaux pouvaient prendre un peu l'air, c'est plus pratique pour les panser, les seller, nettoyer les box... Que des points positifs selon moi. Je m'approchai des box et caressai tous les chevaux que je voyais. Aussi bien les miens que ceux de Rhéa. Je laissais tranquille ceux qui n'étaient visiblement pas motivé pour venir me voir. Finalement, Jumanki, Javo, Soft, Native, Animosité, Samba, Amethyste et Atlas était au pré. Les autres étaient dans leur box, sûrement sorti ce matin. Je m'approchai du box du box de Nelson, où le petit poney regardait à l'extérieur, l’œil pétillant. Je souris et tendis ma main vers lui pour le caresser. L'étalon s'approcha de ma main et sembla tout content que quelqu'un lui rendre visite. Je souris et le caressai doucement. Il était adorable.

« Coucou toi... Tu vas bien ? Une petite sortie ne te fera pas de mal, tu m'as l'air de t'ennuyer un peu. »

En effet, le petit gris ressemblait à une pile électrique. Il secouait la tête dans tous les sens et semblait vouloir sortir. Je souris et pris le licol orange posé sur le porte licol à côté de la porte. J'ouvris le loquet et rentrai à l'intérieur du box. Nelson ne se jeta pas sur moi et me laissa rentrer sans problème. Je lui mis le licol et le sortis du box pour le faire brouter un peu. Il allait un peu décompresser et il sera sans doute plus attentif tout à l'heure. Je le menais vers un coin pleins d'herbe où il pourrait brouter tranquille. Le jeune poney français de selle se laissa faire et mangea avec plaisir la bonne herbe d'été. Je souris et le regardais arracher avec force chaque touffe de pelouse. Le gris semblait content. J'avais le temps avant de partir, donc je le laissais profiter. Je suivais les mouvements du cheval sans le gêner et le laissais aller là où il voulait. Après vingt bonnes minutes de brouting, je relevai la tête de mon poney et le ramenai à l'aire de pansage extérieur. J'attachais rapidement le poney qui regardait partout de ses grands yeux. Je le caressai et partis chercher mon sac de pansage, sa selle, son filet avec de belles rondelle orange, un tapis orange, des protections de la même couleur et mon matériel pour monter. Je ramenais le tout vers l'étalon qui jouait avec sa longe. Je le réprimandais gentiment et ouvris mon sac pour en sortir un cure-pied. Je passais ma main sur le membre du poney et lui dis '' donne ''. Nelson leva sans problème son membre et je retirai avec douceur le fumier. Je passai un coup de brosse pour nettoyer bien comme il faut la sole. Son pied tout propre, je le repose par terre et refais la même chose pour les trois autre pieds. Une fois tout ça terminé, je caressais son encolure et lui dis :

« C'est bien Nelson, tu vas bientôt être tout propre ! Oui, tu es un gentil cheval... »

L'étalon avait approcher sa tête de moi pour me faire un câlin. Je souris et le laissai renifler le l'étrille en caoutchouc avant de commencer à la passer sur tout son corps en faisant des cercles. Nelson semblait plutôt bien apprécier et n'avait pas la peau trop sensible, je pouvais donc bien appuyer pour faire ressortir toute la poussière et les poils morts. Curieusement, il était relativement propre et le nettoyer fut assez rapide. Du coup, je passai du temps à retirer tous les poils morts, en m'en foutant de partout au passage. Je retirai les poils collé au niveau du passage de sangle et de ses cuisses. Puis, je pris le bouchon pour nettoyer sa petite tête tout doucement. Nelson fut un peu réticent au début mais une fois qu'il comprit que je ne lui voulais pas de mal, il se laissa faire. Je brossai ensuite tout son corps d'abord dans le sens inverse du poil, puis dans le bon sens. Après, j'obtiens un petit poney gris tout propre, avec un joli poil. Je souris et passais un dernier coup sur ses membres avant de faire la même chose avec la brosse douce. Je passai avec douceur la brosse dans le sens du poil pour le rendre brillant. Magnifique. Je souris et caressai mon poney qui n'avais pas bougé puis, je pris ma brosse à crin et commençai à retirer les nœuds de sa queue. J'enlevai aussi les brins de paille puis, je passai à la crinière. Je démêlai les nœuds avant de revenir à la queue pour prendre mèche par mèche et être sur qu'elle soit bien propre. Je félicitai ensuite Nelson qui était toujours aussi sage. Je pris l'éponge que je mouillais et nettoyais ses naseaux et le contour de ses yeux. Puis, je lui mis ses protections en les réglant convenablement. Puis, je posai le tapis et la selle que j'ajustais après avoir dégaroter. Puis, je passai la sangle dans les différents passages de sangles avant de sangler au deuxième trou. Je caressai ensuite le cheval et mis le licol en collier. Je pris le filet et mis ma main sur son chanfrein pour ne pas qu'il bouge. J'écartais les deux rondelles et mis un doigt au niveau de la commissure des lèvres pour qu'il ouvre la bouche. Puis, je mis délicatement le mors pour ne pas lui éclater les dents. Je retirai le toupet coincé sous la frontal et fermais les boucles. Puis, je m'équipai de ma bombe, ma cravache dans ma botte. Vu le temps, nous pouvions aller en carrière facilement. Je détachai le licol et nous allions en direction de la carrière.

Carrière.

Je rattachai le licol en collier autour du cou du poney. Je le caressai, très contente de lui. J'avais failli manger le sable à cause d'un problème de ma part, mais sinon, il avait été parfait ♥. Il avait une impulsion d'enfer, un coup de saut énorme, un énorme respect des barres... Mais il demandait beaucoup de canalisation et une position presque irréprochable. Je défis les boucles du filet et le lui retirai. Je le laissai se frotter contre la barrière avant de lui donner un morceau de carotte que Nelson mangea avec appétit. Je le laissai mâcher avant de remettre son licol. Puis, je retirai la selle, le tapis et les protections. Je rangeai tout ça après avoir nettoyé le mors. Puis, je pris mon cure-pied pour nettoyer ses quatre pieds. Je retirai du sable de la carrière avant de reposer délicatement son sabot au sol. Le poney était toujours aussi réactif, bien qu'un peu plus calme que tout à l'heure. Je souris et le détachai pour l'emmener à la douche. Je lui montrai le tuyau pour voir sa réaction. Nelson le renifla avec intérêt avant de s'en désintéresser. Je le félicitai et éloignai l'objet avant d'allumer l'eau. Le petit gris ne dit rien, même que je rapprochai le tuyau. Je le caressai et commençai à laver ses membres de bas en haut pour activer la circulation du sang. Je mettais mon doigt pour empêcher toute l'eau de passer. Je fis ça pour ses quatre membres avant d'augmenter la pression et de laver tout son corps. Il avait un transpiré à cause de la chaleur et une bonne douche lui ferait du bien. Je le caressai et après l'avoir bien mouillé, je pris mon couteau de chaleur et retirai un maximum d'eau. Mais je ne cherchai pas à le sécher entièrement mais plutôt à le laisser juste un peu humide et de le laisser sécher au soleil en broutant. Je le détachai et partis le faire brouter. Quand il commença à devenir presque entièrement sec, je le ramenai dans son box. Je lui fis une ultime papouille et lui retirai le licol. Je fermais le porte de son box, Nelson qui commençait à manger sa ration qui lui avait été distribué. Je souris et après avoir rangé tout mon matériel, je repartis chez moi.