box de Rose

Aujourd'hui était un grand jour : Rose ma pouliche Shire était née ! Après 11 mois d'attente, elle avait montrée sa petite bouille d'ange. La mise bas avait eut lieu cette nuit et c'est le palefrenier qui l'avait trouvé dans le box de sa mère : Lyra. C'est Axelle qui m'avait annoncé sa naissance, ce matin à 7h30. Toute la famille était surexcité, ma sœur m'avait suppliée de m'accompagner avant de se rendre à son cour de danse et les parents voulaient voir cette petite merveille dont je leur avais tant parlé ! C'était le premier poulain de la famille et elle serait suivit de peut par une adorable Lipizzane. - Adèle ! Monte dans la voiture ! Rouspéta ma mère en voyant que ma petite sœur rêvassait. Mon père mît le contact et la voiture démarra, nous n'étions qu'à 20 minutes du Haras de Pado mais le trajet me paru duré une éternité ! - Elle est où ?! Demanda ma sœur en courant vers les écuries des propriétaires. - Adèle ! La gronda mon père. - Elle n'a pas encore un box à elle toute seul, elle est avec sa mère. Lui expliquais-je. Nous nous dirigeâmes vers le Domaine du Territoire de la Liberté où se trouvait Lyra, la mère de ma pouliche. Nous arrivâmes devant le box et je fus surprise de la taille du la Shire. Mes parents, en bon adultes responsable, avaient appelés le vétérinaire pour s'assurer de sa santé de notre nouvelle venue. - Elle est en excellente santé ! Nous rassira le véto'. - Très bien, merci beaucoup. Mes parents se rendirent dans le bureau de Touch' pour régler les dernière formalité et nous laissèrent, moi et ma sœur, devant le box. - Comme tu vas l'appeler ? Me demanda Adèle. - Je ne sais pas encore, j'ai peur de me tromper. Avouais-je à ma sœur. - Pourquoi pas rose ? Tu as vue le bout du nez ? Il est tout rose. - Bonne idée ! - Alors on l'appelle Rose ? Je contemplai la pouliche pendant quelques minutes et je répondis à ma sœur avec un sourire complice : - Oui.

6 mois plus tard...

confiance en l'homme et brosses

Rose avait depuis quelques jours un box à elle toute seule dans les écuries des propriétaires. Sont sevrage n'avait pas était dur et je prenais un plaisir impressionnant la regarder évoluer. Sa mère ne me laissait pas beaucoup l'approché quand elles étaient toute les deux et je pensais qu'il était maintenant l'heure de commencer son près-débourrage. Au cour de ces six mois, Rose s'était révélé une pouliche pleine de vie et prête a apprendre et à découvrir. J'ouvris la porte de son box en lui disant : - Bonjour Rose. Elle était en train de manger et elle se retourna pour voir qui entré. Je tendis ma main pour la caresser et elle se recula légèrement, surprise. - Tout va bien. La rassurais-je. Rose n'avait eut aucun mal à s'adapter à l'environnement du box sans sa mère et il fallait maintenant que je l'habitue à porter le licol pour qu'elle puisse se rendre au paddock. Mais avant cela, il fallait qu'elle est une entière confiance en moi. Je m'assis sur la paille fraîche et je me sentis toute petit à côté de cette peluche géante. Rose avait du charisme et ne se laissait rarement impressionner, elle prenait toujours l'initiative et faisait tout le temps le premier pat. Mais se retrouver toute seule avec moi sans sa mère pour se cacher en cas de panique la rendait un peu peureuse. Au bout d'un moment, la petite Shire baissa prudemment la tête pour que ses yeux soient à hauteur des miens. Je mis, doucement et sans geste brusque, ma main sur son chanfrein et la coïncidence me fit sourire : Fantôme, son père, baissait toujours la tête pour être à ma hauteur. Je la caressai avec tendresse pour que le manque de sa mère se face le plus petit possible et qu'elle trouve en moi du réconfort. Je me levais, toujours en la caressant, et je fis évoluer ma main sur son encolure, puis sur son dos. Elle restait tout de même méfiante mais quand elle eut compris qu'elle ne craignait rien elle tourna la tête dans la direction et je vis des yeux pleins de malices me regarder. - Je t'adore ! Je passais mes mains sur tout son corps, les pattes furent plus durent et elle m'avertit gentillement qu'il fallait que j'arrête, en exerçant une pression. Je sortis de mon sac une brosse douce et je la lui fis sentir, elle ne se trahit pas et commença à essayer de la mâchouiller, sortie les dents pour mordre quand je la stoppais : - Non non, ce n'est pas fait pour ça. Je sourie sans m'en rendre compte et je songeais au bon moment que j'allais passer avec Rose. Je lui mis la brosse sur le haut de la tête et, toujours fidèle à elle même, elle la baissa illico pour la faire tomber. Un sourire plus prononcé se dessina sur mon visage et je rigolais pendant quelques secondes. Je me penchai pour ramasser la brosse, sous l'œil vigilant de Rose. Je la lui fis sentir une deuxième fois et en la caressant, petit à petit je joignis à ma main la brosse douce. Elle ne broncha pas et parue plutôt satisfaite de l'effet que lui procuré la brosse. J'enlevais de plus en plus ma main jusqu'au moment où il ne restait plus que la brosse. Tout en restant vigilante, je la lui passait sur tout le corps et encore une fois elle n'aima pas que je lui la passe sur les jambes ! Maintenant que Rose s'était adapté à la brosse la plus souple, je sortis de mon sac un bouchon. Quand je déposai la brosse sur son épaule gauche, elle sursauta mais comprit bien vite qu'elle ne craignait rien ! Encore une fois je lui passait le bouchon sans problème sur tout le corps, hormis ses jambes. Le plus dur venait : l'étrille. À choisir entre l'américaine et celle en plastique, j'optais pour la deuxième. Je mis sur les naseaux les petits piques et elle trouva se bout de plastique bien étrange. Encore une fois, elle essaya par tout les moyens de la mordre pour voir quel était son utilité. Comme pour la brosse douce, je la caressai avec la main, puis j'ajoutai l'étrille jusqu'au moment ou il ne resterait plus qu'elle. - Bien, je pense que nous avons bien avancé. Concluais-je en adressant une caresse pleine de douceur à Rose. Cette pouliche était impressionnante ! Et je sentais que ces bons moments ne faisaient que commencer...

• confiance + 04 %
  moral & soins + 05
  
  débourrage.
  confiance → 04 / 10
  brosses → 04 / 05 - le cure pied n'a pas été vu
  
  + 02 pommes

Aujourd'hui je voulais sortir Rose toute seule sans sa mère, ce qui ne devrait pas être trop dure vue la vivacité d'esprit de la petite Shire. Des averses étaient prévue pour la journée mais je comptais la sortir entre deux. Je marchais d'un pat joyeux sur le chemin qui menait au écuries des propriétaires, mon père venait de me déposer dans la cour et était reparti aussi tôt. Ma bonne humeur s'expliquait : je venais de passer mon étrier 4 avec Flèche et je pouvais donc avoir mon propre domaine ! Je me glissais dans les écuries, la lumière était allumé et je vis mon amie Eline sortir avec S'peece, sa trotteuse. - Salut ! C'est déprimant ce temps... - Je suis totalement d'accord avec toi ! Me répondit-elle illico, j'espère qu'il fera plus beau le moi prochain, la pluie j'en ai marre ! - Bon je te laisse je vais m'occuper de Rose, à la prochaine. Elle me fit un signe de la main et mît sa capuche sur sa tête pour sortir sous les trombes d'eau. Je l'approchait du box de Rose, ma pouliche ne restait presque plus avec sa mère et je n'avait pas l'impression qu'elle en souffre, contrairement à Slepy qui avait énormément de mal à s'en séparer. - Bonjour ma belle. Dis-je en le penchant au dessus de la porte. Elle avait encore grandit ! Maintenant, sa tête arrivait largement au dessus de la porte. Je me glissai dans le box et la caressais doucement. Je fis passer mes mains sur son ventre puis sur son dos et enfin sur ses flans, tout aller bien ! Avant de lui apprendre à porter le licol, je voulais l'habituer au cure-pied, ce qui était indispensable vue leur taille futur. Je sortie donc de mon sac mon cure-pied violet, je lui mis sous le nez, elle le renifla rapidement sans trop y faire attention, la pouliche avait déjà des manie de chevaux. Je fis glisser ma main de son encolure jusqu'à son sabot et tirais légèrement sur le fanon. Elle n'eut pas l'air de comprendre ma demande et laissa son pied bien encré dans la paille. Je sortis délicatement de ma poche un morceau de carotte. Rose n'avait jamais goûté à cette saveur et comme son père j'étais presque sûre qu'elle apprécierai. - Tient ma belle, c'est très bon. Dis-je en lui mettant sous le nez. Elle renifla le morceau orange pendant un bon moment puis le prit avec prudence entre ses lèvres. En quelques secondes, elle croqua à pleine dents la friandise et me regarda comme pour m'en redemander. Un sourire se dessina sur mon visage en voyant cette tête chercheuse qui commençait à fouiller des mes poches. - Non non, si tu lèves le pieds tu en auras ! Je recommençais l'exercice, je fis glisser ma main de son encolure jusqu'au fanon. Rien. Alors je pris mes deux mains et je soulevai avec un peu de mal le sabot avant gauche de Rose. Elle parue déséquilibré et surprise et exerça une pression impossible à soutenir pour moi à soutenir et reposa le pied. - Non. Dis-je fermement. Je repris son sabot avec plus de vigueur et je réussis à maintenir son sabot en l'air pendant presque une minute. - Oui, c'est bien. Je lui tendis une rondelle de carotte qu'elle avala goulûment, elle avait bien vite prit goût a cette friandise orange ! Elle devait commencer à comprendre que lever le pied signifié une friandise car la deuxième fois elle se laissa presque faire. Pendant quelques minutes je lui fis lever les quatre pieds, toujours grâce à les deux mains, les sabots arrière étaient plus dure mais je finis par y arriver. J'essayai maintenant avec une seule main en tirant légèrement sur le fanon et à ma plus grande joie, la petite Shire leva le pied après seulement deux demande ! - Oui !!! Je lui tendis un morceau de carotte, le sourire au lèvres comme un enfant dans un magasin de jouet. Je lui refis faire trois fois l'exercice sur chaque pieds puis je passai à l'étape suivant : le cure-pied. Je lui fis lever le sabot avant gauche et je posai la pointe de métal sur la sole du sabot. Aucune réaction de sa part, mais quand je la fis circuler, elle sursauta et reposa immédiatement le pied sans que je peux intervenir. Il fallut presque 30 minutes pour que la pouliche accepte la pointe froide sur ses sabots. - Sa devrait le faire. Dis-je convaincue du résulta. La veille j'avais acheté au magasin équin du centre ville un beau petite licol en cuir noir ornait de petite bordure rose pâle. - Tu vas être toute belle avec ce licol ! Pour moi, un cheval avec un vieux licol a moitié déchiré était un cheval mal entretenu et délaissé. Chacun de mes chevaux avait un licol différent. Je fis sentir à Rose le licol, j'adorais son odeur de cuir neuf. Elle voulut le mordre pour voir si sa se mangé mais je lui interdis avec un "non" ferme. Je passais la la muserolle, elle ne broncha pas. - C'est bien. Je lui passais délicatement la têtière et l'enfilais dans la boucle, elle se laissa faire et j'en fus très contente. Je pris h peu de recule et je vis la pouliche loucher pour voir cette chose noir que je lui avait mise sur la tête. Ce qui me fit rire au éclat ! - Je t'adore Rose. Dis-je en lui caressant l'encolure chaleureusement. Je resterai légèrement la muserolle et j'attachai la longe rose à l'anneau d'attache. J'ouvris le box et en sortis, Rose ne bougea pas et me regarda l'air ahurit. - Viens. Dis-je en tirant à petit coup la longe. Elle fit un pat, puis deux, trois et elle sortit un sabots de la paille. Rose était déjà sortie mais toujours accompagné de sa mère et jamais en longe, alors elle parue un peu perdue. Elle sortit tous ses sabots du box et se retrouva du la dalle de béton. - Aller. Encourageais-je. Je fis mine de partir devant et elle galopa jusqu'à moi comme un petit animal perdue. Le souri me vint au lèvre et je la regardai tendrement, il n'en existait pas deux comme elle ! Nous arrivâmes à sortir des écuries après plusieurs coup de cul et saut de mouton. Le soleil sembla l'éblouissant pendant quelques secondes mais r'ouvrit très vite les yeux. - Tu ne crains rien, viens. Sur le chemin des paddocks, Rose prit vite confiance en elle et s'amusa même à me doubler, ce que je lui interdit fermement. Arrivé devant le premier paddock, je la fis entrer à l'intérieur. Et détachais la longe, elle resta quelques minutes à côté de moi puis partie d'un coup au galop, ses longues jambes lui donnaient un air d'échassier et quand elle leva les sabots arrière pour taper dans le vide, je rigolais de bon cœur. Comme à mon habitude avec mes autres chevaux, je m'assis au pied de l'arbre et je la regardai tourner autour du paddock. Au bout de 10 minutes, elle s'arrêta et se rapprocha de moi, elle baissa la tête et renifla l'herbe verte. Et comme si de rien était elle se mît à brouter. Je restait encore 30 minutes à la regarder puis je lui courut après pendant 5 minutes avant d'arriver à l'attraper. Nous rentrâmes au écuries, sur le chemin elle s'amusa à me dépasser et à tirer sur la longe. Suivre en longe n'était pas encore acquis mais sa allait venir. Je la dosais dans son box et lui tendis un morceau de carotte qu'elle croqua avec gourmandise, je remis de l'eau dans son abreuvoir et du foins dans sa mangeoire et je me rendis au box d'à côté : celui de Calife.

• j'attends donc la fin (:

• confiance + 04 %
  moral & soins + 05
  
  débourrage.
  confiance ; 08 / 10
  brosses ; 05 / 05
  licol ; 05 / 05
  
  + 02 pommes