box de Etincelle

Après m'être occupée de Tendresse, je me dirigea vers le box d’Étincelle. La jument PSAr était tout simplement magnifique. Elle portait une belle robe Isabelle, et rien qu'en la regardant rapidement, on remarquait que c'était une pur-sang arabe. Quand elle me vit, elle tourna la tête vers moi et s'approcha. Sa fine tête me fit totalement craquer. Je me mise à la caresser tendrement le long du chanfrein. Elle ferma les yeux au fur et à mesure que je m’exécutais.  Au bout d'un moment, je retira ma main pour aller chercher un licol. Je revenais ensuite et l'enfila à la jument. Elle releva un petit coup la tête puis se laissa faire. Je la mena jusqu'au pré et la lâcha le temps de faire le box. Elle galopa à toute vitesse en faisant un tour du pré avant de revenir brouter l'herbe verte et tendre. Je l'observa quelques minutes puis me décida enfin à faire le box. Je pris fourche, pelle, raclette, balai et brouette puis entra dans l'écurie en direction du box d’Étincelle. Je décolla ce qu'il y avait au sol avec la fourche, puis ramena tout au centre avec la raclette, ramassa un maximum  avec la pelle et finis en balayant devant le box de Tendresse et celui d’Étincelle. J’allai ensuite vider la brouette puis la remplir de sciure propre et de paille fraîche. Je pris ensuite un licol et alla chercher Étincelle. Elle vint presque aussitôt et je pus lui enfiler le licol facilement. Je la ramena au box et décida de la brosser. Je pris mon étrille verte molle et effectua de petits cercle  sur la robe de la pur-sang Isabelle. Elle n'était presque pas sale, il n'y avait que quelque bout de terres qui tombaient au sol. Je prenais ensuite le bouchon que j'avais acheter il y a peu de temps et brossa la jument dans le sens du poil pour en faire sortir la poussière. Je terminais le travail avec la brosse douce qui lustra en quelque sorte la robe de la jument. Je lui cura les pieds avec mon cure-pied en gel et lui graissa les sabots avec de la graisse noire. Je lui démêlais ensuite les crins et ce fut terminé. Elle n'avait pas bouger d'un pouce durant le pansage, je la félicita donc avec une carotte qu'elle avala rapidement. Je lui donnais ensuite sa ration d'orge et un peu de foin changeait sa pierre à sel et vérifiait que l'abreuvoir marchait encore avant de lui faire un énorme câlin en tant qu’aurevoir.