box de Loufok

• J'arrivais au Territoir de la Liberté en ce beau mardi matin, quoique un peu pluvieux. Je n'allais pas pouvoir travailler dehors aujoud'hui, la carrière était quasi. inondée! C'était pareil pour l'hippodrome et le rond de longe! Le terrain de cross, lui, était tellement glissant qu'un palefrenier s'y était rétamé 3 fois! Les chemins de balades étaient si boueux que j'avais presque perdu ma botte... Il ne me restait plus qu'à aller dans le manège; le seul "lieu de travail" couvert du domaine. Comme vous le savez le manège est l'endroit idéale pour faire du dressage! C'est ce pourquoi je devais sortir un cheval qui avait besoin de faire du dressage... Je me dirigeais vers les box pour choisir un cheval mais aussi pour m'abriter de la pluie. Je posais mes yeux sur Te Quiero. Non, j'avais fait une balade réçamment avec lui, j'avais des chevaux qui n'étaient pas sortit depuis longtemps. Je lui donnais une caresse, puis avançais un peu dans l'allée, et posais mes yeux sur Cancun. Non, la discipline que je devais travailler en urgence avec lui était le cross, pas le dressage. Je continuais donc d'avancer, puis je m'arrêtais au box de Loufok. C'est vrai que je l'oubliais un peu ces derniers temps. De plus, comme je le connais, il adore le dressage! Cette sortie ne peut donc que lui faire du bien. Je souris, et claquais de la langue pour lui annoncer mon arrivée. Loufok leva la tête, heureux de me voir...
  
  
• Je pris son licol noir et beige, ouvris la porte de son box et me faufilais à l'intérieur de celui-ci. Je lui mis son licol avec délicatesse. Loufok se laissais faire. J'ouvris la porte de son box bien en grand avant de sortir Loufok du box. Je l'attachais à son anneau, et pris le soin de refermer la porte du box de l'isabelle. Pendant ce temps là, Loufok fouillait mes poches. Quel gourmand! Seulement, il ne trouva rien de plus qu'une boîte de mouchoirs. Je lui donnais une tendre caresse, avant de partir à la sellerie. J'en revins avec un gros sac noir, que je posais à côté de Loufok. Puis j'ouvris le sac, et en sortis une étrille. Je me relevais, et étrillais énergétiquement Loufok sur les parties charnues. Je rangeais mon étrille et sortis mon bouchon. Je le bouchonnais un peu partout sur le corps, mais surtout sur les membres. Bientôt je rangeais mon bouchon pour sortir ma brosse douce. Je la passais partout, même sur la tête. Je ne passais pas très longtemps à enlever les poussières, quand on reviendrait à l'écurie il serait aussi sale que si je ne l'avait pas pansé. Je rangeais ma brosse douce et sortit mon cure-pied. Je curais ses pieds un à uns, puis rangeais mon cure pied. Je sortis mon pot de graisse noire, et enduisis les sabots de Loufok d'une épaisse couche de graisse. Puis je rangeais le pot dans mon sac, et partis le ramener à la sellerie. à l'occasion je ramènerais ses affaires
  
  
• Je revins près de Loufok les bras chargés. J'avais une selle, un tapis de selle, un amortisseur, un filet et une paire de guêtres. Je mettais presque toujours une paire de guêtre à mes chevaux quand on travaillait, peu importait la discipline. Sauf peut-être en ballade avec un cheval/poney pas très fragile des tendons, comme je l'avais fait avec Te Quiero. Je posais les affaires de Loufok sur la porte de son box, et gardais juste les guêtres noir et beiges. Je les lui mis, veillant à ce que les velcros soient à l'extérieur. Une fois ceux-ci mis, je pris le tapis de selle beige et le mis bien en avant sur le dos de Loufok. Puis je pris l'amortisseur noir et beige et le mis dans l'alignement du tapis. Je pris ensuite sa lourde selle noire, et la mis dans l'alignement de l'amortisseur. Je vérifiais qu'un quartier n'était pas coincé, comme ce n'était pas le cas, je dégarrotais d'une dizaine de centimètres, puis sanglais en douceur. Je pris ensuite le filet de cuir noir, mis le licol en colier autour du cou, et passais les rênes par-dessus la tête. Je lui mis le mors, puis passais la têtière derrière ses oreilles. Je bouclais la muserolle et la sous-gorge, et voilà, il était près! Je mis ma bombe, pris ma cravache et partis avec Loufok dans le manège.
  
  
• De retour au box, je rattachais Loufok. je débouclais sa muserolle, et sa sous-gorge pour lui enlever le filet. Je remis son licol correctement, puis le dessellais. Je posais sa selle sur la porte de son box. Je lui curais les pieds et le bouchonnais vite-fait, puis le fis rentrer dans son box, en faisant attention à ne pas renverser son matériel. Puis je lui fis un bisou, et partis ranger ses affaires dans la sellerie.