Box de Galaxie

Ce matin, comme tous les dimanches, je me réveillais et me levais assez tôt pour un week-end. J’enfilais ma tenue d’équitation, déjeunais, préparais mes affaires et montais en voiture avec ma mère. Elle prit la route habituelle et nous roulions pendant une cinquantaine de minutes. Bientôt, elle gara la voiture devant mon domaine. Je lui proposais de descendre mais elle refusa. Elle devait se dépêchait d’aller faire les soldes. Je descendais et prenais mes affaires avant d’entrer dans les écuries. Aujourd’hui, j’avais prévu une séance de pony-games avec Etoly, Griotte et Jam. Cette dernière ne devrait pas tarder à venir au domaine car elle allait monter Furry, une de mes ponettes Islandaises. Je me dirigeais vers le box de Galaxie, ma deuxième Islandaise que j’avais achetée quelques semaines auparavant lors d’une fois organisée par le Haras de Pado. Depuis ce temps, je ne l’avais encore jamais monté. J’étais arrivée en avance pour passer un peu de temps avec elle. Je pris le licol qui lui appartenait dans une main et entrais dans son box, ma boîte de pansage dans l’autre main. Galaxie resta au fond de son box sans venir me voir. Je pus l’approcher et la caresser sans problème. Je lui mis son licol, posais ma caisse au sol et en sortais des brosses. Jam arriva et me salua. Je lui indiquais l’emplacement du box de Furry et elle partit s’en occuper. J’étrillais alors les parties charnues de la ponette puis la bouchonnais pour enlever les dernières poussières et nettoyer ses membres. Galaxie était calme et peu affectueuse. Elle ne cherchait pas à avoir des caresses ou des câlins. Je passais un coup de brosse douce sur la robe café au lait de l’Islandaise avant de peigner ses crins et de nettoyer ses sabots. Je rangeais mes brosses dans ma boîte de pansage, fermais celle-ci et sortais de box. J’allais dans la sellerie, prenais les affaires de Galaxie et revenais dans le box. Je posais délicatement le tapis et la selle sur le dos de la ponette, la sanglais puis mettais la croupière. Je saisissais le filet, passais les rênes par-dessus les oreilles de l’Islandaise, glissais le mors dans sa bouche, installais ses oreilles entre la têtière et le frontal avant de mettre la sous-gorge. J’étais enfin prête. Je demandais à Jam si elle aussi était prête et elle l’était. Nous sortions nos montures en dehors des écuries. Je mettais ma bombe, resanglais et descendais mes étriers. Je me mettais en selle et Jam fit de même. Quand tous nos réglages furent faits, nous partîmes au pas en direction du terrain de jeux où nous avions rendez-vous avec Etoly et Griotte.