box de Flèche

« Vive et fière, Flèche est une jument dominante. Elle aime diriger et ne se soumet qu'à l'homme. Elle adore les longs pansages et être toute belle. Elle refusera de sortir de son box s'il reste un noeud dans ses crins ou s'il y a des grains de sable dans son pelage. Cependant, elle n'hésite pas à se salir, lorsqu'elle est sûre qu'un bon pansage rendra à sa robe son éclat. Courageuse, elle se donne à fond et serait capable d'aller jusqu'à ses ultimes limites pour vous. Si vous ne dîtes pas stop, elle pourrait en mourir. Flèche est une jument très polyvalente, qui peut toucher à tout avec un bon cavalier. Elle apprécie particulièrement les balades et le saut, mais elle ne dira jamais non à un bon galop sur l'hippodrome. Malgré son jeune âge, elle sait déjà beaucoup de choses. Elle perdra rapidement confiance en vous si vous ne la traitez pas comme il se doit. Elle est rancunière. »

« Flèche est une jument pur sang arabe de 6 ans et de robe baie. Actuellement son propriétaire est Griotte. »

« Je la r'amené du paddock, je me sentais fière de tenir sa longe, pour moi rien ne compte plus que la relation que je vais entretenir avec cette magnifique jument. En arrivant au écuries je me rappeler ce que l'on m'avait dit de cette jument : " Elle perdra rapidement confiance en vous si vous ne la traitez pas comme il se doit. Elle est rancunière. "
Quoi de plus normal ? Cette jument à un caractère de princesse, tout comme moi. Elle adorer ce faire brosser et déteste être sale pour sortir de son box. Je ne sort pas si je ne suis pas coiffé et maquillé ! Je pense que si je devais être une jument je serai Flèche.

Un petit cou de tête dans l'épaule pour me rappeler ce que j'étais venue faire au box.
J'ouvrai la porte et elle se glissa sur la paille fraîchement changé, je l'attachai au petit anneaux de métal à côté de la porte. J'avais laissé mon sac au fond du box, rose pâle n'est peu être pas la bonne couleur...

Je sortie une étrille américaine de mon sac mais je jugeai rapidement que son poiles court et sa peau sensible préfèreraient une douce étrille de caoutchouc. La penser ? À quoi bon ! Je ne voyais même pas l'ombre d'une petite pédicule de boue. Mais qui n'aimerai pas un bon massage en fin de journée après une bonne journée à se réchauffer au soleil. J'entrepris donc de passer la petite étrille rose sur son corps.

Boue : non
Poussière : oui !
Je sortie donc un bouchon que je commençai à passer sur ses longue jambes, son encolure, sa croupe,...
Et pour terminer mon travail je sortie de min sac une brosse douce, j'avais pris tant de plaisir à la choisir, en pensant à ma petite " princesse " : rose à poils beige.
Je m'appliquais donc à faire briller sa robe de mille feux.
Maintenant que son poils été parfait ( enfin presque ) j'allais chercher un saut d'eau tiède au robinet, je pris bien soin de vérifier si elle n'était ni trop froide ni trop chaude.
Je plongeais la petite éponge dans l'eau, l'essorais délicatement et nettoyais ses yeux, ses naseaux... Je m'attardais sur ces dernier que je trouvais si doux, doux comme du velours ou comme le duvet un oiseau.

Je n'avais jamais pris au temps de plaisirs à penser un cheval, peut être car c'était en quelque sorte le " mien " ?
Je jetais un coup d'œil à ma montre : déjà 18h50, il était temps de rentrer.
Je rangeais à contre cœur mais brosse et lui ôtais son licol. J'avais l'impression qu'elle avait passer tout ce temps à juger de mon efficacité à la rendre belle.
Je lui donner une petite tape amical sur l'encolure en guise d'au revoir.
Je m'éloignais quand... Un hénisement... Je me retournai. Je suis sûre qu'elle disais " tu as réussit cette épreuve mais... Ce n'est pas fini ! "

Temps mieux ! J'ai toutes les vacances devant moi ! " princesse " »

« Je la r'amené du paddock, je me sentais fière de tenir sa longe, pour moi rien ne compte plus que la relation que je vais entretenir avec cette magnifique jument. En arrivant au écuries je me rappeler ce que l'on m'avait dit de cette jument : " Elle perdra rapidement confiance en vous si vous ne la traitez pas comme il se doit. Elle est rancunière. "
Quoi de plus normal ? Cette jument à un caractère de princesse, tout comme moi. Elle adorer ce faire brosser et déteste être sale pour sortir de son box. Je ne sort pas si je ne suis pas coiffé et maquillé ! Je pense que si je devais être une jument je serai Flèche.

Un petit cou de tête dans l'épaule pour me rappeler ce que j'étais venue faire au box.
J'ouvrai la porte et elle se glissa sur la paille fraîchement changé, je l'attachai au petit anneaux de métal à côté de la porte. J'avais laissé mon sac au fond du box, rose pâle n'est peu être pas la bonne couleur...

Je sortie une étrille américaine de mon sac mais je jugeai rapidement que son poiles court et sa peau sensible préfèreraient une douce étrille de caoutchouc. La penser ? À quoi bon ! Je ne voyais même pas l'ombre d'une petite pédicule de boue. Mais qui n'aimerai pas un bon massage en fin de journée après une bonne journée à se réchauffer au soleil. J'entrepris donc de passer la petite étrille rose sur son corps.

Boue : non
Poussière : oui !
Je sortie donc un bouchon que je commençai à passer sur ses longue jambes, son encolure, sa croupe,...
Et pour terminer mon travail je sortie de min sac une brosse douce, j'avais pris tant de plaisir à la choisir, en pensant à ma petite " princesse " : rose à poils beige.
Je m'appliquais donc à faire briller sa robe de mille feux.
Maintenant que son poils été parfait ( enfin presque ) j'allais chercher un saut d'eau tiède au robinet, je pris bien soin de vérifier si elle n'était ni trop froide ni trop chaude.
Je plongeais la petite éponge dans l'eau, l'essorais délicatement et nettoyais ses yeux, ses naseaux... Je m'attardais sur ces dernier que je trouvais si doux, doux comme du velours ou comme le duvet un oiseau.

Je n'avais jamais pris au temps de plaisirs à penser un cheval, peut être car c'était en quelque sorte le " mien " ?
Je jetais un coup d'œil à ma montre : déjà 18h50, il était temps de rentrer.
Je rangeais à contre cœur mais brosse et lui ôtais son licol. J'avais l'impression qu'elle avait passer tout ce temps à juger de mon efficacité à la rendre belle.
Je lui donner une petite tape amical sur l'encolure en guise d'au revoir.
Je m'éloignais quand... Un hénisement... Je me retournai. Je suis sûre qu'elle disais " tu as réussit cette épreuve mais... Ce n'est pas fini ! "

Temps mieux ! J'ai toutes les vacances devant moi ! " princesse "»

« Je r'amenais Flèche du rond de longe où nous avions passé une bonne partie de la matinée, il faisais grand soleil comme plus tôt dans la matinée donc je décidais de l'attachais dehors à l'annaux de fer qui se trouvé à côté des grandes portes de l'écuries.
J'avais laissé mon sac dehors et j'en sortie toute mon artillerie : étrille ( en caoutchouc bien sûre ! Pour sa peau fragile ! ), un bouchon, ma brosse douce rose, mon peigne, une éponge et un cure pied du même rose que la brosse douce.
Comme la veille aucune particules de boue ne salissais sa robe donc je passais rapidement l'étrille noir sur son poil. Et pour ne rien changer son poil été toujours aussi poussiéreux ! Et pour cela j'étais prête ! On m'avait prévenue : "Elle refusera de sortir de son box s'il reste des grains de sable dans son pelage" !
Je pris donc le bouchon et m'affairé à enlevé le moindre petit grains de poussière qui salissaient sa robe baie.
Tous en m'appliquant je lui racontais ma vie au collège et chez moi, comme si elle avais été ma meilleure amie :
- La semaine dernière j'ai eux une bonne note au contrôle de maths ! Et le prof' m'a félicité.

Une fois mon travail terminé je pris la brosse douce et finis en faisant briller son pelage le plus possible. Et je continuais à lui parler :
- La semaine dernière en Art Plastique nous avons travaillé sur une œuvre qui se nomme : " Chevaux sous un chêne " la peintre qui à réalisé ce tableau est une cavalière confirmé ! Et elle à peint ses deux chevaux préféré dans leur près, le plus grand est un Lipizzan gris pommelé et le plus petit est une jeune pouliche Arabe, comme toi ! Et je trouve qu'elle te ressemble beaucoup.
Flèche avait l'air si attentive à mon histoire que sa présence me faisait un bien fous !
J'eus presque du mal à dés encrés des sabots du sol poussiéreux de la cours tellement elle m'écoutait. Ses fers étaient parfaitement posé et sa fourchette neuve comme celle d'une Poulin ! Ses anciens propriétaires devaient faire très attention à elle, ce qui appliquerais son caractère de princesse que j'aimais temps chez elle !
Après avoir nettoyé attentivement ses pieds je m'attelais à sa crinière qui était un vrai champs de bataille ! Ses crains été tellement fins qu'ils formaient des neufs minuscules et indénouables.
Je commençais donc à démêler sa crinière mèches par mèches grâce à mon petit peigne en métal tout en continuant mon récit :
- J'admire cette artiste, elle arrive à entremêler ses deux passions à la perfection ! Elle à réalisait bien d'autre tableau : "Un frison sur l'eau", "Le Miracle de la nature" et bien d'autre mais mon préféré reste " Chevaux sous un chêne " ! Elle à mis temps de précisions dans les trait de chaque des chevaux que l'œuvre en devient presque réelle...
En réfléchissant je ne rendis compte que la scène devait être risible : j'étais debout sur un petit tabouret pour être à la bonne hauteur afin de démêlé la crinière de Flèche et je parlé à ma jument d'une artiste qui réalisé des tableaux de chevaux. Une personne qui ne me connaissait pas aurais pût me prendre pour une folle.
Mais cela ne m'importait peu car oui j'étais dans mon monde mais j'étais heureuse et rien de pouvait plus compter.
- Je sais que tu adorerai être top modèle !
Un petit hennissement sortie de sa gorge et je lui souris, elle me comprenait et j'en été sûre !
- Malheureusement je ne suis pas doué en dessin... Dis-je penaude.
À force de peigner sa crinière, cette dernière en devenez presque électrique :
- Alors ? Tu n'as jamais eut une crinière aussi belle ?

Après avoir rangé mes affaires j'allais emprunté un rouleau de massage dans la sellerie où je caressais du bout des doigt la selle noir de Flèche, j'avais tellement hâte de pouvoir lui mettre sur le dos. En arrivant devant elle, le soleil été à son Zénith malgré le fait que nous soyons en Mars, il dégageait une chaleur agréable. Je me postais à côté de son flanc droit et lui appliquais le rouleau de massage, que je fis si reculer sur son dos, puis sur le flanc opposé et pour finir je lui massé les épaules avec douceurs.

Après avoir finis je détachais sa longe et me dirigeais vers son paddock, en enlevant délicatement son licol je lui soufflet à l'oreille quelque mots :
- Je vais manger et je reviendrais après... Peut être avec un carnet et un crayon... »

UN JOUR DE PLUIE

La pluie avait recommencé à tomber et le poils transpirant de Flèche était déjà trempé.
Notre première séance de dressage c'était passé à merveille et un bon pansage à l'abri de son box lui ferait du bien.
Je marchais devant elle sur le petit chemin de terre qui mené au écurie du club, en passant sous les grandes portes la gouttière se déversa sur moi et je fus trempé.
- Aaargh !!!! Saleté de pluie ! Dis-je en jetant un regard foudroyant au toit.
- Et bien ! Qu'est ce qu'il t'est arrivé ? Me demanda Camille une des palefrenier du Haras.
- Il faudra réparer les gouttières !
- Ah ah ah ! Camille partie dans un fou-rire qui me fis vite oublier ce petit désagrément.
- J'aurais bien aimé te voir à ma place ! Rigolais-je.
Elle retrouva son sérieux et me demanda :
- Est ce que tu pourrais me rendre un service ?
- Euh...Oui bien sur !
- Pourrais- tu faire le box de Flèche ? Sa m'arrangerais beaucoup...
- Je comptais le faire ! Donc ça tombe bien !
- Bon je te laisse j'ai tous les chevaux à rentré !
Je lui fis un signe de la main mais elle était déjà partis en courant, sa capuche sur la tête.
J'attachais Flèche à l'anneau qui se trouvait à côté du box et je la dé-sellais, je posais la selle sur la porte ouverte de son box et lui enlevais son filet.
Je partie chercher mon sac dans les vestiaires et j'en profitais pour me sécher les cheveux avec une serviette.
Quand je passais la porte Flèche regardais dans ma direction comme si elle m'attendais,
- Je suis la ma belle...
Je lui enlevais son tapis trempé du dos et j'ouvris mon sac dont je sortie un petit chiffon gris que je passait sur la dessus de la selle noir.
Je me rendis dans la grange qui était accolé aux écuries et pris une fourche et une brouette que je remplis de paille fraîche.

J'avais presque fini d'enlever la litière salle quand Flèche me donna un coût dans le dos avec sa tête.
- Quoi ? Je sais ! Je me dépêche de finir et je m'occupe de toi !
Je terminais en vitesse de répandre la paille propre sur la dalle de béton et fis entrée ma princesse dans son box.
Je lui passais le couteau de chaleur pour enlever l'eau de pluie sur son pelage.
Comme à mon habitude je la brossais avec une étrille en caoutchouc qui bien sûre ne servie pas à grand chose car aucune saleté n'obscurcissaient sa robe bai cerise, bouchon, brosse douce, peigne et cure pied me furent par contre très utile !
Je me rendis dans le bureau, sur le grand tableau blanc était affiché les rations à donner à chaque cheval, Flèche/après avoir travaillée : trois dose d'avoine et une de blé à quoi je pourrais ajouté une bonne quantité de fois.
Je me rendis dans une petite pièce accolé à la grange où se trouvé tout le grains : maïs, orge, avoine. Je pris la petite pelle qui se trouvé dans le compartiment et mis dans le seau que j'avais pris à l'entré, trois dose d'avoine. Son, blé, soja, graine de lin. Je m'y une pelle dans le seau et j'amenais le mélange à Flèche, en passant devant le robinet, je fis couler un peu d'eau chaude dedans pour que la mixture son plus facile à manger pour elle.
- Voilà ma belle ! De l'avoine et des graines de lin ! Et demain après une balade tu auras le droit à de l'orge et du blé.
Je versais le tout dans la mangeoire et ma princesse au allure si discipliné se jeta sur la nourriture comme une petit ours.
Je la caressais et lui fis un bisous sur l'encolure.
Je fis deux allez-retour à la grange pour amener du fois à Flèche, et je déposais sur le tas un quignon de pain dure.
Je refermais soigneusement la porte et sortie des écuries.
Un dernier regard à ma princesse et toute cette fabuleuse journée me revint à l'esprit.»

UN BONHEUR SANS ÉGAL

Enfin ! Enfin mes efforts on payé, je pourrais enfin arrêter le boulot de serveuse au Café du cartier pour me consacré totalement à MA princesse de jument !
La vente a été faite hier avec la directrice du Haras, mes parents ont payé la moitié de la somme demandé car il ne veulent plus que je mette les pied au Café.
Flèche est enfin à moi ! Je n'est jamais été aussi heureuse de toute ma vie !

Je posais mon vélo dans l'herbe et je courus dans les écuries, j'ouvris en trombe la porte du box et je me jetais au cous de ma jument.
- Oh Flèche ! Comme je suis heureuse !
Maintenant que j'était propriétaire de ma jument je devais la faire changer de bâtiment, elle devait passé du A au D, où un box l'attendais.
Je pris son licol et lui je lui enfilai, elle me suivit et ses sabots résonnèrent avec un son cristallin sur la dalle de béton. En sortant un courant d'aire froids m'ébouriffa les cheveux et je fus toute décoiffée, je suivais le chemin de gravier blanc et nous passâmes devant le bâtiment B où d'autres chevaux du club étaient installais, puis le C et enfin le D, la moitié des box étaient vides et les quelques chevaux présent avait l'air endormis : un bel isabelle faisait la tête dans un coin de son box, un grand alezan manger du foins, une belle Tinker somnolé et une petite baie qui me semblais être une Exmoor faisait de même. De l'autre côté un bel Arabe regardais avec intérêt Flèche et une Paint-Horse que j'avais crue apercevoir au parcours de cross la regardait d'un air amusé. Au milieu des deux chevaux se trouvait un box vide où un palefrenier avait amené la sellerie de Flèche. Je la fis entrée sur la paille fraîche et refermais la porte.

Après plusieurs allé-retour entre le box et la sellerie pour ranger les différents accessoires de Flèche je m'assis dans la paille de son box, je n'arrivais toujours pas à imaginer que cette magnifique princesse était à moi. Je sortis de ma poche des carottes j'en tendis une à Flèche, qu'elle mangea rapidement. Elle n'étais pas sale mais je n'avais pas envié de la laisser toute seule alors je sortis une brosse douce de mon sac et je la brossais.

Le ciel commençais à s'assombrir, ça faisait plus d'une heure que je brossé Flèche dans son box, alors je pris les affaires et je sortis du box.
- À demain ma belle...