Je r'amenais Flèche du rond de longe où nous avions passé une bonne partie de la matinée, il faisais grand soleil comme plus tôt dans la matinée donc je décidais de l'attachais dehors à l'annaux de fer qui se trouvé à côté des grandes portes de l'écuries.
J'avais laissé mon sac dehors et j'en sortie toute mon artillerie : étrille ( en caoutchouc bien sûre ! Pour sa peau fragile ! ), un bouchon, ma brosse douce rose, mon peigne, une éponge et un cure pied du même rose que la brosse douce.
Comme la veille aucune particules de boue ne salissais sa robe donc je passais rapidement l'étrille noir sur son poil. Et pour ne rien changer son poil été toujours aussi poussiéreux ! Et pour cela j'étais prête ! On m'avait prévenue : "Elle refusera de sortir de son box s'il reste des grains de sable dans son pelage" !
Je pris donc le bouchon et m'affairé à enlevé le moindre petit grains de poussière qui salissaient sa robe baie.
Tous en m'appliquant je lui racontais ma vie au collège et chez moi, comme si elle avais été ma meilleure amie :
- La semaine dernière j'ai eux une bonne note au contrôle de maths ! Et le prof' m'a félicité.
Une fois mon travail terminé je pris la brosse douce et finis en faisant briller son pelage le plus possible. Et je continuais à lui parler :
- La semaine dernière en Art Plastique nous avons travaillé sur une œuvre qui se nomme : " Chevaux sous un chêne " la peintre qui à réalisé ce tableau est une cavalière confirmé ! Et elle à peint ses deux chevaux préféré dans leur près, le plus grand est un Lipizzan gris pommelé et le plus petit est une jeune pouliche Arabe, comme toi ! Et je trouve qu'elle te ressemble beaucoup.
Flèche avait l'air si attentive à mon histoire que sa présence me faisait un bien fous !
J'eus presque du mal à dés encrés des sabots du sol poussiéreux de la cours tellement elle m'écoutait. Ses fers étaient parfaitement posé et sa fourchette neuve comme celle d'une Poulin ! Ses anciens propriétaires devaient faire très attention à elle, ce qui appliquerais son caractère de princesse que j'aimais temps chez elle !
Après avoir nettoyé attentivement ses pieds je m'attelais à sa crinière qui était un vrai champs de bataille ! Ses crains été tellement fins qu'ils formaient des neufs minuscules et indénouables.
Je commençais donc à démêler sa crinière mèches par mèches grâce à mon petit peigne en métal tout en continuant mon récit :
- J'admire cette artiste, elle arrive à entremêler ses deux passions à la perfection ! Elle à réalisait bien d'autre tableau : "Un frison sur l'eau", "Le Miracle de la nature" et bien d'autre mais mon préféré reste " Chevaux sous un chêne " ! Elle à mis temps de précisions dans les trait de chaque des chevaux que l'œuvre en devient presque réelle...
En réfléchissant je ne rendis compte que la scène devait être risible : j'étais debout sur un petit tabouret pour être à la bonne hauteur afin de démêlé la crinière de Flèche et je parlé à ma jument d'une artiste qui réalisé des tableaux de chevaux. Une personne qui ne me connaissait pas aurais pût me prendre pour une folle.
Mais cela ne m'importait peu car oui j'étais dans mon monde mais j'étais heureuse et rien de pouvait plus compter.
- Je sais que tu adorerai être top modèle !
Un petit hennissement sortie de sa gorge et je lui souris, elle me comprenait et j'en été sûre !
- Malheureusement je ne suis pas doué en dessin... Dis-je penaude.
À force de peigner sa crinière, cette dernière en devenez presque électrique :
- Alors ? Tu n'as jamais eut une crinière aussi belle ?
Après avoir rangé mes affaires j'allais emprunté un rouleau de massage dans la sellerie où je caressais du bout des doigt la selle noir de Flèche, j'avais tellement hâte de pouvoir lui mettre sur le dos. En arrivant devant elle, le soleil été à son Zénith malgré le fait que nous soyons en Mars, il dégageait une chaleur agréable. Je me postais à côté de son flanc droit et lui appliquais le rouleau de massage, que je fis si reculer sur son dos, puis sur le flanc opposé et pour finir je lui massé les épaules avec douceurs.
Après avoir finis je détachais sa longe et me dirigeais vers son paddock, en enlevant délicatement son licol je lui soufflet à l'oreille quelque mots :
- Je vais manger et je reviendrais après... Peut être avec un carnet et un crayon...
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Sam 16 Mar - 9:33