Fiche de FlècheAprès avoir mangé un sandwich sur une des tables de pic-nique du centre j'allais trouvé un palefrenier à qui je demandais un carnet et un crayon qu'il alla chercher dans le bureau.
Le temps était nuageux et humide cela ne m'étonna donc pas quand une pluie fine se mis à tomber, je r'abatis ma capuche sur ma tête et me dirigeais vers le paddock de Flèche mon carnet à la main.
Tout au long de ces deux jours j'avais fait la connaissance de personnes qui elles aussi avait des chevaux en demi-pension et d'autres qui avait la chance d'être propriétaire.
Comme je les envié ! J'avais trouvais un petit bouleau où je me rendais tous les mercredi en temps que serveuse dans un bar et j'espérais pouvoir réunir assez d'argent pour pouvoir racheter Flèche au Hara de Pado.
Le paddock de Flèche était entouré d'une clôture de bois claire sécurisé par deux fil électrique qui y était attaché. Au fond un majestueux chaîne trônait en fessant une ombre sur la moitié du petit parc. Quand je me glissais à l'intérieure Flèche broutait tranquillement l'herbe courte qui venait juste de repousser après la fine pellicule de neige qui était tombé.
Elle ne fis pas attention à moi, sa seule réaction fus de remuer légèrement les oreilles dans ma direction. Je marchais sans m'arrêter jusque à l'arbre où je m'abritais de la pluie, ma chère
princesse dénia lever la tête pour voir qui venait troublé son repas et quand elle me vue elle avança d'un pas nonchalant jusqu'à moi. Je sortie de ma poche un morceaux de carotte que je lui tendis et qu'elle attrapa volontiers. Alors je lui fis sentir délicatement le petit carnet noir, à ce moment la ma Flèche se réveilla et redressa les oreilles, elle avait compris ce que ce petit livret vierge signifié.
Je m'assis contre le tronc du chaîne et sortie le crayon à papier de ma poche, j'ouvris le carnet et découvris des pages blanches de forme A5.
La coïncidence était amusante j'avais parler à Flèche un peut plus tôt dans la matinée d'un tableau qui s'appelait " Chevaux sous un Chaîne " et nous étions toutes les deux sous le chaîne de son paddock.
Comme si elle avait fait ça toute sa vie, elle posa devant moi à l'abrist de la pluie en regardant vaguement des autres chevaux des paddock voisins.
Je n'osais pas poser mon crayon sur le papier blanc, j'avais peur de la rater et qu'elle m'en veuille... Avec la plus grande précaution je fis une première courbe pour son dos puis sa croupe, je terminé par dés cendre le long de sa jambes, puis son sabot et je remontais pour faire son ventre.
Tout à coup un éclair fendit le ciel et Flèche se cabrât, tout les autres chevaux étaient paniqués !
- Tout doux ma belle, tout doux. Essayais-je de la r'assurer.
Un hennissement terrifient sortie de sa gorge et elle partie en donnant des coup de sabot dans le vide, je ne savais pas quoi faire, c'était beaucoup trop dangereux que j'essaye de m'interposer, alors sans réfléchir je lâchais le carnet et le crayon dans l'herbe trempé quand un deuxième grondement résonna dans le ciel. J'allais chercher le licol de Flèche que j'avais laissé accroché sur la barrière le matin même, j'en dé crochais la longe et laissais tomber le licol par terre. Je cachais la corde bordeaux dans mon dos et m'assis dans l'herbe, j'allais jouer la carte de la
patience.
La pluie avait redoublé et j'étais trempé, mes bottes ruisselaient, de la patience j'en avais mais pas dans ces condition.
Je me levais et commençais à m'éloigner de cette jument furieuse qui continuait à donner des coup dans le vide tout en galopant quand je sentis de l'aire chaud sur mes mains frigorifiées, je me retournais, elle était la plus belle que jamais dans sa robe trempée.
Je lui tendis ma main et elle posa son front dans ma paume.
- C'est fini Flèche, c'est fini, tout va bien... Lui chuchotais-je.
Je passais délicatement la longe autour de son encolure et l'entraînais en dehors du paddock.
En arrivant au écuries je la mis dans son box et lui passais le couteau de chaleur pour enlever toute l'eau qui s'étaient accumulé dans son pelage.
- Hallo maman ? Est ce que tu peux venir me chercher ? Je suis au hara...