Manège Flèche

Fiche de Flèche




De la pluie, toujours de la pluie. Après le petit accident du paddock je redoutais un peut de travailler avec Flèche un jour de mauvais temps.

Pourtant je marchais devant elle d'un pat mal assuré, elle sentait ma nervosité face à cette nouveauté. Et oui ! C'était la première fois que j'allais la monter !
Une petite séance de dressage dans le manège pour commencer doucement.
La pluie tombée à flot et après avoir marché cinq minutes pour nous rendre au manège nous étions trempés jusqu'au os. La belle selle noir était toute mouillé et ne parlons même pas du tapis bordeaux qui avait plutôt une couleur marron foncé atroce. Le petit voile noir qui protégé ma bombe laissé maintenant passer l'eau, j'avais donc les cheveux mouillé, pour une première séance tout s'annoncé à merveille...
En arrivant devant le gigantesque manège je ne vis même pas si il y avait du monde car la grande structure de bois me caché la vue. Du haut de mes 1m45 je paraissais ridicule à côté de ma jument et son mètre quatre-vent-cinq.
J'ouvris timidement la porte et m'avancé sur le sable humide, Flèche dernière moi.
Trois personnes travaillé dans le manège : une jeune fille blonde, qui devait avoir mon âge, sur une grande jument noire.
Une autres qui devais avoir trois ou quatre ans de plus que moi, sur un petit shetland alezan, elle ne devait être gère plus grande que moi. Et une jeune femme sur bel un étalon isabelle.
[b]- Allez Flèche.[b]
Son pas était assuré, contrairement au mien, à côté de ces cavalières je paraissais ridicule. Pat espagnol et pat de côté, des figures que je n'étais pas prête de faire avec Flèche.
Je mis mon pied dans l'étrillé et je me hissais jusqu'au sommet de son dos parfait. Un écart et le peut d'assurance que j'avais pris s'envola.
[b]- Doucement ma belle... Je sais que tu peux le faire...[b]
Une petite pression sur les flancs et elle partie dans un pas nerveux et inégale, que je m'efforçais de ralentir. Une diagonal qu'elle ne pris pas correctement et un écart quand je lui demandais le trot me fis comprendre que cette jument au allure de princesse n'était plus aussi sûre d'elle sous une selle.
J'avais trouvée la faille de cette jument parfaite et c'était à moi d'arrivé à lui donner confiance en elle.
La jeune femme et le bel étalon partir, ce qui me laissa plus de place pour travailler.
[b]-Allez Flèche, au trot ![b]
Elle partis au trot, malgré les petits trébuchement son allure était agréable et je n'avais aucun mal à tenir en trot enlevé.
Les deux autres cavalières travaillé au centre du manège ce qui me laissa le loisir de travailler sur les longueurs.
Plus nous restions sur le trop plus ce dernier devenait plaisant et juste. Je lui demander le pas, contrairement à un peut plus tôt, elle marchait d'un pas assuré, un peut rapide serte mais agréable.
[b] - C'est bien ma belle ! [b]
Je la fis repartir au trot, les premières foulées furent laborieuse mais les suivantes retrouvèrent leurs assurances.
[b] - Un petit galop ? [b]
J'exerçais un pression sur ses flans et elle partie au galop. Bizarrement dans cette allure il n'y eu ni trébuchement, ni raté. Flèche paraissait très alaise dans cette allure, tout comme moi.
Je décalais légèrement mes hanches pour commencer un courbe, elle était parfaitement incurvée. Je ralentis son allure pour arrivé sur un trot assez lent, ce qui me permis de voir qu'elle était aussi parfaite en trop qu'en galop quand elle le voulait.

Je la dirigeais en A puis F et elle commença une volte qu'elle exécuta parfaitement.
[b] - C'est bien ça ! [b]
Je lui refis mais cette fois en main droite et je la dirigeais en K, elle eut un peut plus de mal cet fois ci mais c'était déjà bien pour une première.
Je la fis repartir au galop, quelque tour, puis je me levais légèrement de la selle et je me penchais en arrière. Elle s'arrêta net.
Cette jument était vraiment impressionnante ! Même avec des chevaux plus âgé je n'arrivais jamais à les faire arrêter de cet façon. Je lui flattais l'encolure et elle me gratifia d'un petit hérissement. Je la refis partir au galop et me risquais à quelque chose de plus périlleux : le galop à faux, une figure que je n'avais pas exerçais depuis longtemps.
Je maintiens mon poids à l'intérieur, je donnais un léger pli extérieur de l’encolure et reculais ma jambe extérieur. Les premières foulées furent laborieuses mais la suite fus parfaite. Le petit défaut que j'avais trouvé sur Flèche ne durait pas longtemps, juste le temps qu'elle s'habitue à l'environnement et à son cavaleries. Je la fis arrêter et redescendis à terre.
[b] - C'est bien ma belle... Tu as assurait ! [b]
Je fis passer les rênes au dessus de sa tête et l'entraînait vers la sortie. Tellement j'avais été concentré, je n'avais même pas vue que les deux autres cavalières était partie. J'ouvris la porte et l'arrêtais : la pluie avait cessait, pour laissé passer quelques rayons de soleil qui faisaient scintiller les goutes d'eau.
Nous nous dirigeâmes vers les écuries, cette journée était parfaite !