1ère rencontre avec Ébène
Aujourd'hui, j’allais rencontrer Ébène, une jument Hanovrienne que Pêche Melba m'avait confié. Elle voulait la faire progresser, et je m'étais aussitôt proposer pour prendre la jument en dp. En plus de moi et de Pêche, Seychelles s'en occupait aussi.
En arrivant dans l'écurie du Domaine de la Pâturette, un frisson d’excitation m'a parcouru le dos. Je caressais quelques chevaux, ils étaient tous magnifiques. Je finit par arriver devant le box d’Ébène. La jument était encore plus belle qu'en photo, avec sa belle robe alezane et sa liste. Dès qu'elle me vit, elle sortit la tête de son box. Je tendis ma main vers sa tête, elle la renifla puis re-renifla. Elle finit par m'accepter. Quelle gentille jument ! Je lui caressais doucement le chanfrein, lui parlant doucement.
-« Bonjour ma belle... Aujourd'hui, c'est moi qui m'occupe de toi d'accord ? »
Je partis chercher mes brosses, rangée dans un bac, et un licol. J'ouvris doucement le box d’Ébène et lui enfila doucement le licol. Elle s'agita nerveusement, impatiente de sortir. Je finis d'attacher la boucle du licol, puis y attachant une longe, je fis sortir Ébène de son boxe. Je l'attachais à un anneau d'attache situé près de son box, puis je pris l'étrille et commença à brosser la jument en faisait de grand mouvements circulaire. Elle eu l'air d'apprécier le massage car elle se détendit. Comme tous les chevaux, Ébène perdait ses poils d'hiver, je pris donc le temps de la brosser avec l'étrille. Quand l'étrille ne "récolta" plus autant de poils qu’auparavant, je pris le bouchon et, en faisant de petit mouvement rapide, enleva les poils que l'étrille avait décollé. Quand la brosse fût salle, je la frotta contre l'étrille, faisant valdinguer poussière et saletés. Après avoir frotté le bouchon au moins cinq fois sur l'étrille et avoir enlevé une bonne partit de la crasse, je pris la brosse douce et la passa sur le corps d’Ébène, d'abord à rebrousse-poils, puis dans le sens du poil.
Je rangeais la brosse douce et m’emparais d'une brosse à crins. Avec, je démêla la queue en commençant par le bas, puis la crinière. Par chance, celle-ci n'était pas très emmêlé. Pour finir le pansage, je pris le cure pieds et cura rapidement les sabots de l'Hannovrienne.
-« Voilà Ébène, tu es magnifique. Maintenant, je vais te seller et direction le manège ! »
Je partis donc chercher le matériel,. Je pris un amortisseur car on m'avait dis que la jument en avait besoin. Je revint vers Ébène avec tout son équipement. Je pris le tapis de selle (bleu) et le posa délicatement sur son dos. Je vérifia qu'il n'étais plier, puis je pris l'amortisseur (blanc) et je le posa par-dessus le tapis. Enfin, je pris la selle et la posa sur le dos de la jument. Je vérifiais qu'elle était droite et bien mise, sans plis, puis j'attachais la sangle à deux trous, juste pour que la selle tienne en place. Je dégarotta puis me dirigea vers la tête d’Ébène. Je détachais le licol pour le mettre en "collier de chien" puis je présentais le mors à Ébène. Elle accepta gentiment le mors, sans serrer les dents. Je passais la têtière derrière les oreilles de la jument, puis sortais le chanfrein de l'alezane du frontal. Je finis par attacher la muserolle et la sous-gorge. Je pris ma bombe et mes gants, les enfila, puis détacha complétement le licol et demanda à Ébène d'avancer. Nous partîmes côte à côte vers le manège.
A FINIR