Séance du Domaine du Lively

Deux juments… Une jeune femme
21/02/2013
*Randonnée*
Promise et Innocence

Après avoir fais un partie du débourrage d'une jeune jument de Touch' j'avais préparé ma jument paint-horse, Innocence avec son matériel western habituel, avant d'aller passer un licol à Promise ma rescapé des vacance d'halloween, pour une promenade. Je guidais mes jument à l'extérieurs, il tombais quelques petits flocons, blancs et légers. Je nouais la longe de promise au pommeau de selle et me hissais sur le dos de ma pie.

Je prenais la direction des chemins de balade. Ma baie marchant calmement à coté de ma paint. Ce serait un simple tour au pas, une longue ballade calme et tranquille, une gentille première sortie pour ma rescapé. Je laissais une bonne longueur de rêne à Innocence, qui habitué se laissais guider par le simple mouvement de mon bassin ou de légère pression de ma jambe.

Je caressais l'une et l'autre doucement, Inno' releva les oreilles alors que Promise venait doucement frotter sa tête contre ma jambe droite. Je souris et continuais sur le chemin. Les pas des deux jument résonnais dans l'air froid et silencieux. Je regardais tomber les flocon et me laissais bercer par l'oscillation du mouvement de la jolie bicolore. Voyant que ma baie suivait sans peine le mouvement j'osais pousser un peu ma monture qui adopta le petit trot, vite suivie de Promise qui s'élança joyeusement lançant les antérieurs en secouant la tête.

Je rigolais et les laissais à cette allures sur une centaine de mètres avant de les repasser au pas. La promenade repris son cours tranquille. Je tentais un second petit trot sur une courte distance puis terminais cette promenade au pas. Le chemin formant une grande boucle nous ramenant devant mes écuries.

Délice… en sucre
28/03/2013
*Randonnée*
Honey

Depuis quelques jours j’avais réussi à me libérer pas mal de temps pour mes chevaux, ça me rendais assez heureuse. C’est donc avec le sourire que je guidais Honey, mon étalon que j’avais sauvé de Rescue Me, vers le montoir à la sortie du haras. Le ciel était nuageux mais pas menaçant, je profitais donc de l’occasion pour allez faire une promenade avec mon alezan. Je le stoppais le long d’un muret et avec plus ou moins de souplesse et d’élégance, m’installais à califourchon sur son dos. Je n’avais pas sellé mon cheval, il était confortable et je n’avais pas peur qu’il cherche à se débarrasser de moi.

Je me plaçais correctement puis d’une pression de jambe donnais le départ à mon amour d’alezan. Il marchait d’un bon pas, l’encolure détendue, regardant avec curiosité autour de lui. Je souris et guidais mon cheval sur le chemin menant à la plage en passant par les champs. Je jouais avec ses crins, les rênes posées juste devant mon bassin, sur le garrot, le laissant se mouvoir à sa guise, sans contrainte.

Après une dizaine de minute à cette allure je le poussais au petit trot, qu’il adopta tout content, faisant de longues foulées souples et régulières, confortable. Je suivais sans mal avec mon bassin, détendant mes jambes, soutenant mon dos. Le chemin était large, en terre, et apparemment sans cailloux, ce qui me permettait d’adopter sans crainte cette allure à peine soutenue. En vue des premières dunes de sable je repassais au pas. Je le guidais pour en franchir une, l’escaladant puis redescendant côté plage.

Honey se laissa gentiment amener au bord de l’eau, l’écume des vagues venant s’écraser sur ses sabots. Je le laissais jouer un peu, alors qu’il s’éclaboussait en frappant les vagues. Je lui fis ensuite reprendre notre chemin, ajustant un tout petit peu plus mes rênes pour faire un galop. Je le vit pointer les oreilles avant même que je place mes aides et c’est avec un rire que je lui donnais le départ.

Il s’élança d’un bond puissant, propulsé en avant par une vive poussée des postérieurs. Je plongeais mes mains dans la crinière en le poussant à aller toujours plus vite, faisant la course avec le léger vent marin. Honey jouais le jeu galopant toujours plus vite. Au bout de la langue de sable je le repassais au trot puis au pas, enjambant de nouveau les dunes pour prendre la suite du chemin de terre. Je le remettais ensuite au trot pour faire de la récupération active.

Je le ralentis pour reprendre le pas après une poignée de minute, prenant tranquillement le chemin du retour. Je le laisse de temps en temps marquer un arrêt pour brouter une touffe d’herbe ou deux avant de reprendre la route. Arrivée dans la cours de mon domaine, je me laisse gliser à terre et ramène mon gentil cheval au box.

M'en aller,
S'évader. ♫
Résumé : Balade au bord de mer en tête à tête.
Cheval travaillé : Quelquefois

Je sors tranquillement du Domaine du Lively avec Quelquefois sous ma selle qui semble plutôt motivé. Le sondes du soleil, que voulez vous, elles sont toujours positives. Je laisse mes rênes légèrement lâches pour laisser un poil de liberté à Quelquefois, après tout ce n'est pas une séance de cross que nous faisons là, c'est une balade, et comme son nom l'indique, l'idée est de se balader. J'arrive bientôt au choix le plus crucial de la balade, le choix du sentier. J'ai plusieurs propositions : La forêt, les montagnes, la plage, les clairières, et encore tant d'autres auquel je ne pense pas toujours à visiter. Après trente secondes de réflexion je vais diriger mon étalon et moi à la plage, crins et cheveux au vent, les traces de sabots derrière nous incrustées dans le sable humide, ça va être parfait. Je souris et reprends bien le contact avec le mors. J'écarte ma main gauche du garrot du petit gris et appui mon mollet du même coté à la sangle. Quelquefois s'incurve vers la gauche et prend le sentier qui mène à l'endroit désiré. Le sentier est asser long pour y parvenir, mais le temps que je passe avec ce poney n'a pas d'importance, plus je suis auprès de lui et loin de chez moi, mieux je me porte. Nous déboulons d'abord sur un sentier de terre sèche et d'herbe verte. Quelquefois est assez tendu et marche d'un bon pas, il n'est pas sorti depuis quelques temps, c'est vrai mais il sait très bien qu'il n'est plus seul maintenant et puis d'habitude il n'est pas aussi chaud, même après beaucoup plus de semaines d'attente à rester dans son box avant de sortir en ma compagnie. D'un coté j'observe des jardins de maisonnetes de vacances et de l'autre un petit village bien fleuri pour cette saison. Je suis aux anges. Je faltte l'encolure de Quelquefois mais me redresse quand la route se présente devant nous. Je susi bien droite et arrête mon étalon, prenant garde à la circulation routière. Malgré qu'elle se dirige ou parte du petit village, il semble bien visité ! Bref, je me reconcentre et lorsque la voie est libre je talonne Quelquefois d'un coup sec. Nous traversons la route au petit trot pour rejoindre l'espace 'montable' de l'autre coté qui donne à quelques mètres près, accès aux dunes de sable blanc. Nous passons sans glisser sur le tarmaque et j'en suis plutôt fière, surotut de l'abilité de mon poney. Je le repasse au pas et caresse.

"Aller mon chou', plus que quelques mètres de terre et puis, ...ben regarde ! Le sable commence déjà à apparaitre à nos pieds. Donc je disais, qu'on allait bientôt trotter, tu vas pouvoir te défouler sur la plage après, ne t'inquiètes pas !" lui dis-je avec entrain.

Quelquefois respire fort mais c'est du à la chaleur du soleil qui commence déjà à taper sur sa robe pommelée. Il agite sa tête de haut en bas mais une fois encore ça a une autre signification, il suit le mouvement de sa cadence avec sa tête pour plus de faciliter. Je souris tout de même, prenant cela pour une réponse venant tout droit du coeur, d'où moins c'est là où elle s'enva chez moi. Nous passons une barrière sur lequel un panneau blanc est intitulé : ACCES A LA PLAGE DE PADO. Un sourire se dessine sur mes lèvres en dépassant celle-ci. Je peux enfin lancer ma monture à l'allure supérieure. Je bats des mollets juste derrière la sangle et Quelquefois démarre directement au trot. Je trotte enlevé en me calquant sur le rythme de la main gauche, sur laquelle j'ai déjà remarqué que Quelquefois se sentait plus à l'aise. Nous avançons sur le sable du printemps en allure souple et aérienne. L'équidé deploie ses menbres bien comme il faut, sans trainer. Nous montons et descondons les pentes qui se présentent à nous. J'ouvre bien mes épaules et parfois demande un petit galop pour grimper en suspension sur une dunnes, dont la particularité. Le sentier devient petit à petit de plus en plus plat et le paysage se difercifie en se 'déplumant'. Il se libère un peu et deviant plus rectiligne, la mer est face à nous. A cet instant c'est comme si je me coupais totalement du monde extérieur, je suis dansd ma bullle. J'entends le son que font les vagues quand elles se brisent sur les rochers, je sens la respiration de mon welsh s'amplifier sous ma selle et je vois, je vois l'horizon. Mais comme toujours quelques choses casse mon rêve et cette fois c'est une bête mouette qui hurle au dessus de ma tête. Je jure contre elle et reprends mon petit rêve. Je demande le trot à Quelquefois qui c'était arrêter pour lui aussi observer les environs. Nous nous dirigeons vers la gauche, de façon à se que l'eau soit à notre droite pour l'allée. Pour le retour, nous serons à l'inverse bien sûr. Je trotte enlevé et me rapproche le plus possible des vague même si Quelquefois ne semble pas du même avis de moi. J'ai l'impression qu'il préfère de rester à distance de l'eau. Mais ici c'est moi le chef ! Je l'oblige à atteindre l'eau et metttre les quatre pieds dedans. Il rue et montre son mécontentement, je plante mes talons dans ses flancs et tire d'un coup sec ma rêne du coté de la mer. Quelquefois cabre de vingtaine de centimètres et saute d'un seul coup dans l'eau. D'abord surprise je coupe mon souffle mais après je ris à pleine voix, flattant l'encolure de mon poney qui maintenant trotte dans l'eau en levant eau les menbres. Nous nous enfonçons un peu en profondeur de façon à se qu'il soit trempé jusqu'aux genoux à l'arrêt. Je le repasse au pas et il s'arrête pour tremper les lèvres à l'eau. Je le laisse faire, faisant une grimace, sachant sa prochaine grimace. Il tente de boire mais se redresse directement quand le sel attaque ses papilles. Il redémarre au trot et cette fois je lui accorde de retourner sur le sable. Il marche et je me positionne pour prendr ele galop. Nous démarrons au petit galop pour ensuite accélérer de plus en plus. Ses foulées s'allonge et je prends plaisir au jeu en l'encourageant, suivant le mouvement d'action avec mon bassin et mes mains. Je le repasse au trot après un bon galop et là, une voiture-voile débarque de nulle part, le vent se prend dans sa voile en faisant du bruit. Quelquefois prends peur et démarre au galop en faisant demi-tour. Je prends peur aussi et me penche en arrière en tirant-lachant sur les rênes pour reprendre le contrôle. Ce n'est pas le genre d emon poney de faire ce genre de choses, mais bon, je ne vais pas me facher pour çà, d'où moins tant qu'il ne recommence pas cela n'a pas vraiment d'importance. Nous repassons au trot mais je l'oblige à maintenir un trot allongé, je me mets en suspension et profite de cet instant magique. L'entrée des dunes de sable se rapproche à une vitesse fulgurante, je suis donc obligée de faire retomber Quelquefois dans un petit trot afin de rentrer sans tracas. Je le félicite de toutes mes forces et le laisse trotter dans les dunnes jusqu'à temps qu'on rejoingne la route, traverser puis rentrer jusqu'au Domaine du Lively au pas, tête basse et robe trempée de sueur et de chaleur.

Rêvons... D'un autre monde
24/06/2013
*Ballade/Endurance*
Honey

A cheval sur mon adorable alezan je pris la direction des chemins de randonnée proposé par le Haras. Au pas, rênes longues je laissais Honey avancer à son rythme, assez soutenu d'ailleurs. Je sortais mon téléphone le temps d'activer la fonction MP3 et de lancer la musique. A un volume acceptable mes musiques préférées actuelles emplirent l'air tiède de cette fin d'après-midi. Un petit sourire au lèvre j'indiquais par de léger mouvement d'assiette ou de faibles rênes d'appui les directions à prendre à mon petit cheval. Je ne touchais pas au rênes mais d'une pression de talons lui demandais d'accélérer, il prit le trot, calme, souple, rythmé.


Un petit sourire au lèvre, m'enlevant en cœur avec les foulées de ma monture je chantais par dessus la voix de mes idoles, riant parfois des mouvements d'oreilles curieux de mon adorable Boudienny. Je le gardais à cette allure longtemps, travaillant le souffle et l'endurance. Je repassais au pas, les muscles des cuisses et des mollets raidis par l'effort prolongé, il fallait que je m'y remette sérieusement, je perdais la forme moi, tout l'inverse mon p'tit alezan qui malgré la distance parcourue n'accusait aucunement le coup, les seuls signes de l'effort étaient son encolure chaude mais à peine humide de transpiration et sa profonde respiration.


Après un temps de récupération je raccourcissais mes rênes, ajustant juste ce qu'il fallait pour que le hackamore soit au contact sans pour autant serrer contre le nez de mon cheval. Ce dernier ajusta de lui même notre contact pour qu'il nous soit agréable à lui comme à moi, arrondissant légèrement l'encolure. Je le remettais au trot et nous voilà reparti pour une nouvelle session de travail d'endurance. L'humeur restait joyeuse, la musique entraînante semblait rythmer, cadencer mon alezan qui malgré tout restait sage et bien attentif à mes demandes. 


Une quinzaine de minutes je le ralentissais de nouveau pour récupérer un peu. Le chemin que j'avais choisi effectuait une large boucle qui nous ramènerais au Haras, nous en avions fait la moitié et la transpiration commençais à peine à apparaître sur l'encolure de mon étalon. Je décidais que l'on pouvait s'offrir le plaisir d'un galop avant de finir par une dernière session au trot. Je plaçais mes aides du départ à gauche et d'une pression donnais le départ à l'étalon. Il bondit en avant adoptant un cadence rapide mais régulière. Une musique rythmée sortait de mon téléphone semblant encourager ma monture à galoper comme le vent. En équilibre légèrement au dessus de ma selle j'accompagnais sans mal ses mouvements, le laissant pour l'instant me prendre la main à sa guise.


Dire que quand je l'avais rencontré, cette merveille était à moitié mort dans un paddock de Rescue Me, il avait tellement changé depuis, pour mon plus grand bonheur Je le freinais finalement et le gardais dans un petit galop de chasse tranquille, assise dans ma selle, appréciant son allure confortable. Je repassais au trot puis au pas, le laissant respirer, rênes longues. Il devait rester un gros quart de la ballade et après ce temps de pause je terminais au trot de travail. Revenant au pas dès que les écuries furent à porter de vue. Une fois dans la cour je mis pied à terre, dessanglais d'un cran et retournais dans mon domaine.