box de Sagmar

Aujourd'hui, le ciel était couvert de nuages. La pluie ne tarderais sûrement pas à tomber, mais je m'en fichait, mais alors com-plé-te-ment. J'étais plutôt de mauvaise humeur, ce que le temps reflétait parfaitement. Pour être honnête, j'en avait marre, marre du temps, marre d’avoir dût quitter mon ancien club et d'avoir visitées des centre équestre toute la journée, marre d'être dans la voiture avec mes parents et ma sœur, Sam'. Oui, je sais, ça fait beaucoup de chose. Mais bon, essayer d'être à ma place...
Il y a quelques semaines, peut-être un mois, j'avais quittée mon ancien club. A vrai dire, il était vraiment super... on faisait des séances d'éthologie, du dressage, du saut.. et puis il y avait un petit entraînement de cross, pour découvrir cette discipline, puis il y en avait un grand. Les paysages étaient magnifiques, les chevaux gentils, l’œil brillant... J'avais même débourré un poulain, là-bas ! Bref, j'avais tout appris dans ce club, Sunny. Je l'adorais, jusqu'à que la directrice parte... La raison ? Je ne sais pas, car je suis souvent la dernière au courant des nouvelles, enfin, les pas trop importantes quoi !
Notre directrice est donc partie, remplacé quasi-illico par une autres... Mais celle-ci était différente; avec elle, quand on arrivait au club, les chevaux étaient déjà sellés, et la reprise variait entre dressage, saut et cross. Vous comprenez, l'éthologie et la relation avec les chevaux, ça rapporte moins d'argent... et puis, les poneys et chevaux trop vieux ont été envoyés loin du club, par chance, pas à l'abattoir, mais dans un pré loin du club. Joyeux, non ? De plus, tout le centre équestre avait été refait, il n'y avait plus que des bâtiment et objets luxueux, et la plupart des chevaux était à présent des chevaux de proprio'. Ben oui, une pension, ça rapporte plus d'argent, n'est ce pas ?
Je l'avais donc quittée, ce club, où l'on utilisait des chevaux comme des machines pour gagner du fric. Et vue que je ne voulait pas arrêter l'équitation, j'avais passé la journée à visiter des clubs avec ma famille. Certains étaient super pour le dressage, le cross, le saut, mais je voulais pouvoir faire des balades, de l'éthologie. D'autres étaient spécialisées en éthologie, mais leurs chevaux ne savaient pas bien sauter, et je voulais aussi faire du dressage et du saut. Je savais que j'étais exigeante, même trop. Mais quand vous avez connu un club parfait, vous voulez que tous les autres soit aussi parfaits...
-«Toujours de mauvaise humeur, Emma ? On a visité tous les centre équestre près de chez nous, mais aucun ne te plait. Arête de demander la perfection incarnée.»
La perfection incarné ? Non, la perfection incarnée, ce serait mieux que mon ancien club. Faut pas délirer non plus. Je ne demande pas la perfection incarnée !
-«Je ne demande pas la perfection incarné !!! Je veux seulement un club aussi bien que Sunny ! Je veux juste un club où l'on traite les chevaux avec RESPECT et où l'on pratique quasi-toutes les discipline !!!»
J'avais presque crié. Ma mère soupira et mon père me dit qu'il n'y aurait jamais de centre équestre exactement comme Sunny.... «Sinon, j’arrêterais peut-être l'équitation, c'est ce qu'il y a de mieux, finalement...»
Nous arrivions chez nous, enfin, presque. La maison était à 5OO mètres. Soudain, je vis un grande pancarte en bois, avec écrit dessus «Haras de Pado». Super ! Je sourie, retrouvant un légère enthousiasme, comme si une étincelle s'était allumé dans mon esprit. Elle se transforma bientôt en un feu flamboyant, quand quelques minutes plus tard, nous sortîmes de la voiture pour nous diriger vers ce fameux Haras de Pado.
Je vis tout de suite que ce club était différent des autres. Partout, je voyais des cavaliers souriant, certains brossaient un cheval, d'autres montaient ou faisaient de l'éthologie... Les chevaux avaient les yeux brillant et le poil propre, brillant.
Une palefrenière m'accueillit. Me souriant, elle me guida dans l'écurie, me montrant les chevaux. Puis, elle me guida au parcours de cross, à la carrière, au manège... Elle me fit visiter tout le haras. Enfin, elle finit par me montrer les paddocks. Trois chevaux y étaient, malgré le temps. Julie (le nom de la palefrenière), me les présenta, comme dans l'écurie. Mais je n'y faisais pas attention. Dans le paddock, je ne voyais qu'un seul et unique cheval. C'était un alezan, avec une petite liste bien droite. Il était sublime. Sa robe était le rayon de soleil de ma journée. SI seulement je pouvais le caresser ! A son allure et à son physique, je devina que c'était un Boudienny. Ça tombait bien, car j'aimais beaucoup cette race !
Julie arriva enfin à l'étalon -du moins, je crois que c'est un étalon- et me le présenta.
-«Voici Sagmar. C'est un étalon Boudienny. Tu as l'air de beaucoup t’intéresser à lui... Il est à prendre en demi-pension, si tu t'inscris ici. Oh, il commence à pleuvoir. Tu pourrais ramener Sagmar dans son box pendant que je m’occupe de Myrtille et de Gertrude ?»
J'étais bien sûr d'accord. Elle me tendis un licol de la taille de Sagmar, et entra dans le paddock pour chercher les chevaux qu’elles devaient rentrer. Je la suivit et m'approcha doucement de l'étalon. Il dressa les oreilles en me voyant, sachant sans doute ce que j'allai faire. Je tendis ma main pour qu'il puisse la sentir, puis le caressa doucement. Je lui enfila le licol sans problème, puis je lui demandais d'avancer d'un claquement de langue. Sagmar obéis et partit au pas. Il marchait vite, et j'avais du mal à le suivre. Je lui demanda d'aller un peu moins vite d'un «Ho... Doucement.» et il ralentit son pas. Je sortis du paddock derrière Julie. Par chance, Sagmar ne devenais pas "fou" en présence des juments, et il ne commença pas à galoper pour les rejoindre. Ouf. Je conduisis Sagmar à l'écurie et le mis dans son box, le trouvant rapidement. Je lui retira le licol et le posa sur le côté.
-«Voilà Sagmar. Je ne sais pas si je peux m'occuper de toi, alors je vais demander à Julie de te bouchonner. J'aimerais tellement t'avoir en demi-pension ! Mais si mes parents refusaient de m'inscrire ici si c'est trop cher ? Oh, Sag', je ne veux pas déjà de quitter...»
L'étalon souffla. Je lui caressa doucement la joue, puis me dirigea vers Julie qui était en train de bouchonner Myrtille. Je lui demandais si elle pouvait faire de même avec Sagmar. Elle hocha la tête.«Dommage, j'aurais aimé qu'elle me propose de le faire moi-même... Tant pis.»
Quelques minutes plus tard, je vis mes parents et ma sœur arrivés. Je leurs sourie, et ils me rendirent mon sourire. Qu'est ce que ce sourire signifiait ? Étais-il là pour me consoler car je n'étais pas inscrite ? Ou étais-ce un sourire d'encouragement car j’allais monter ici ?
-«Emma... Nous t'annonçons que tu es désormais inscrite au Haras de Pado ! Nous avions vu avec la directrice et nous avions décidé que tu pourrais prendre un cheval en demi-pension ! Nous viendrons choisir demain qui tu prendras.»
« Yessssss !» Je savais déjà qui prendre, mais je me retins; je ne voulais pas précipiter les choses. Nous sommes partis du haras, ma sœur, mes parents et moi. «Je reviendrais bientôt ici, c'est mon nouveau chez-moi...» ais-je songeait en regardant le Haras de Pado en m'éloignant...

Terminée !

Aujourd'hui, il faisait beau. Jeudi et vendredi, ma mère m'avait empêcher de venir au club à cause du mauvais temps, mais aujourd'hui, le jour de mon anniversaire, ils avaient une grande nouvelle à m’annoncer. Une fois levé (à 6H30) je pris une douche, puis je m'habilla en vitesse. Mes parents étaient dans la cuisine. Dès que j'entrais dans la pièce, je vis un énorme gâteau au chocolat, couronné de bonbons. Miam ! Au dessus, un "Joyeux Anniversaire" était écris. Je sourie, heureuse, et les remercia. Il me tendirent 2 cadeau. L'un était un livre sur les chevaux, l'éthologie, le dressage, le cross et tout ce qu'il faut savoir. L'autre était un chèque pour payer la DP d'un cheval au choix ! J'explosais de joie en criant. Je pris une pars de l'énorme gâteau après avoir soufflé mes bougies. Mes parents me dirent qu'on le fêterais avec mes amies la semaine prochaine ou plus tard/plus tôt. Je leurs sourie, et après avoir mangé une pars de gâteau, je demandais à mes parents si je pouvais allez au Haras de Pado.
-« D'accord, tu peux y aller, mais jusqu'à 17H00 maximum. Et emmène ton goûter ! »
Pff... Ma mère m’énervait vraiment, certaines fois. Mais bon, ça passait. Je partit au haras, et je croisa Julie. Je la salua et lui demanda où se trouvait la directrice. Elle me l’indiqua, la directrice était dans son bureau.
Je partit la voir, et lui demanda si c'était possible de prendre Sagmar en DP. Elle me sourit, et puis, elle me dit.
-« Voilà, tu peux allez monter Sagmar... ton cheval en demi-pension ! »
Je sourit et quitta le bureau, un sourire aux lèvres. Je me dirigea vers l'écurie et me dirigea vers le box de Sagmar, entre celui de Givre Me et celui de Myrtille. En me voyant, il poussa un petit hennissement sans lever le nez de sa ration.
-« Coucou Sag'. Tu te souviens de moi ? Aujourd'hui, on va faire une petite balade ou un parcours de cross mon beau. »
Il hennit à nouveau. Je partit chercher un licol violet et je le lui mis. Au début, il ne voulait pas quitter sa mangeoire, mais quand je l'attira avec une carotte bien juteuse, il céda. Je lui passa la muserolle puis j’attachais la boucle du licol. Je pris la longe et tira doucement dessus. Sagmar obéis et me suivit doucement. Je l'attacha à un anneau d'attache, attrapa une étrille et commença à brosser Sag' en mouvement circulaire et énergique. Je rangea l'étrille puis brossa l'étalon avec la brosse dure. Je finit avec la brosse douce, la passant dans les deux sens du poil. Voilà. Je n'avais plus qu'à faire la queue, l'éponge et le cure-pied. Je repris le bouchon et démêla la queue avec, puis je continua avec une brosse à crins, jusqu'à que la queue de Sagmar soit parfaitement démêler. Je rangea les brosses, puis pris mon éponge, l'humidifia légèrement, et la passa en douceur sur les yeux, les naseaux, les lèvres et l'anus de Sagmar. Je finit par prendre le cure-pied. Je descendit doucement ma main le long de l'antérieur droit de l'étalon, et je tira légèrement. Il leva le sabot. Je le nettoya puis le graissa, pareil pour les autres. Voilà, l'alezan était sublime. Je le caressa, puis alla chercher un tapis de selle (violet) et une selle, sans oublier mon filet. Je posa d'abord le tapis sur le dos de l'étalon, le positionnant à sa place, puis là selle. Je passais la sangle dans les passages de sangles et je sanglais légèrement, juste pour que la selle tienne en place. Voilà. Je dégarotta, puis mis le licol en "collier de chien". Je pris le mors dans ma main et le proposa à Sagmar. Il l'accepta, commençant malgré tout à s'agiter quand j'eus finis de mettre le filet. Je mis ma bombe et mes gants, puis j'allai chercher des guêtres et des cloches pour Sagmar. Celle-ci étaient violettes. Je lui mis, au antérieurs et au extérieurs (sauf les cloches que je ne mis qu'aux antérieurs.)
-« On va pouvoir y allez, Sagmar. Séance de saut, d'accord ?. »
Il hennit, agitée. Il avait hâte d'y allez, comme moi. Je passa les rênes par dessus l'encolure, et partit à la carrière.

Séance de saut avec Sag'.
Marcheur avec l'étalon.

Je revenais d'une séance de saut épuisante. Sagmar avait beaucoup transpiré, le soleil de plomb n'arrangeant rien. Comme lui, j'étais en sueur, mais avant de me changer, il fallait que je m'occupe de lui.
Je me dirigea vers le box de l'étalon et entra dans le box avec lui. Je lui retira sa selle, son tapis et son filet. Je partit les ranger à la sellerie, prenant bien soin de laver me mors et de passer un coup de brosse sur le tapis. Une fois cela fait, je retourna voir Sagmar et, après m'être emparé d'une poignée de paille propre, je commença à bouchonner le Boudienny. Quand la poignée devint humide, j'en pris une autre, jusqu'à que l'alezan soit sec. Voilà. Je pris une éponge humide, puis nettoya les yeux, les oreilles, la bouche, les naseaux et l'anus de Sagmar. Je finis par lui faire les sabots. Sag' levait les jambes à l'avance, pour que je n'ai pas à lui demandé. Je sourie. Une fois le pansage finit, je remarquais qu'il était 16 H 5O. J'avais à peine le temps de rentrer chez moi ! Déçu, je caressa Sagmar.
-« J'vais devoir y allez, Sag'. Je reviendrait mercredi, car lundi et mardi, maman à besoin de moi... Désolé mon beau. »
J'étais triste, mais il fallait s'y faire... « Pourquoi maman à besoin de moi quasi-tout le temps ? Pourquoi ? »
Je m'éloignait de l'écurie, triste. Mais le soleil me fit vite retrouver ma joie ! Je sourie, heureuse. Je couru jusqu'à chez moi et arriva à 17H16. Ma mère m’engueula un peu, mais bon, tant pis... Le soir, je m'endormit en pensant à Sagmar.

Finish !

Aujourd'hui, le ciel était couvert de nuages, mais je voulais quand même emmené Sag' faire une balade. Je n'avais pas pu le voir pendant quelques jours, mais les vacances approchaient, alors je pourrais allée le voir tous les jours.
En arrivant dans l'écurie, j’aperçus tout de suite Sagmar. L'étalon avait passé la tête hors de son box et il m'accueillait d'un hennissement. Je sourie. En arrivant au box de Sagmar, je lui caressa le chanfrein. Il sembla apprécier, car il ferma les yeux et étendit son encolure. Je lui expliqua le programme de la journée, pansage, balade sur la plage, puis brossage après le travail. Après quelques minutes de caresses, je partit chercher des brosses, un filet, un tapis et une selle. Je revint avec tout le matériel, posant la selle sur le porte-selle et accrochant le filet à un crochet. Pour les brosses, je pris l'étrille et commença à masser Sagmar avec, faisant de longs mouvement circulaire. Après une ou deux minutes, je retirais l'étrille et découvrit qu'elle était pleine de poils ! Ah, oui c'est vrai, nous étions au printemps, le Boudienny perdait donc ses poils d'hiver.
Je tapa l'étrille contre le mur, faisant valdinguer les poils de la brosse. Je continua à brosser Sagmar avec l'étrille, des deux côtés. Au bout d'un moment, j’arrêtais, même si il y avait encore pleins de poils. Je rangea l'étrille après l'avoir nettoyé, et je pris le bouchon, le passant dans le sens du poils. Je devait le frotter contre l'étrille très souvent, mais j'avais tellement connu ça que cela ne me dérangeait presque plus. Je finis par la brosse douce, la passant dans le sens inverse du poil, puis dans le sens du poils. Je la décrassa aussi contre l'étrille plus d'une fois. Voilà, ça ira, Sagmar avait encore quelques poils "en trop" mais impossible de tout retirer. Je rangea la brosse douce et pris le cure-pieds, demandant gentiment un sabots à Sagmar. Il le leva sans broncher, mais il mis tout son poids dessus, m'obligeant à le reposer.
-« Tu ne va pas m'avoir comme ça Sag' ! » Ais-je dis en redemandant le même sabots à Sagmar.
Au début, il ne le leva pas. J’insistais donc un peu plus, il finit donc par le lever et je pu finir de le nettoyer. Ce fût pareil avec tous les sabots. Quel coquin ! Je finis le pansage en passant l’époussette et en graissant les pieds de Sagmar, puis je pris le tapis de selle et le posa sur le dos de l'étalon. Il s’excita légèrement, il devait avoir hâte d'être monté ! Je posa donc la selle et la passa dans les passant de sangle, comme d'habitude. Je sanglais légèrement, de manière à ce que la selle tienne. Je pris le filet et passa les rênes par dessus l'encolure de l'alezan, puis je lui présenta le mors. Il l'accepta gentiment, ce qui me surpris, car il avait été énervant pour les sabots. Je finis de lui mettre le filet, puis je mis ma bombe et mes gants, régla mes étriers puis sangla d'un trous. Voilà. Je passa les rênes par dessus l'encolure après m’être assuré d'avoir bien dégarroté.
-« Allez, c'est partit Sag' ! » Me suis-je exclamé en sortant du box, l'étalon à mes côtés.

Balade avec Sagmar

Après notre petite balade, Sagmar et moi, nous nous sommes rendu à l'écurie. Là, j'y ai mis Sagmar dans son box. J'ai commença par lui retirer la selle, la posant sur le porte-selle, puis-je défis la muserolle et la sous-gorge avant d'enlever le filet. Je l'accrocha à un crochet, puis je pris une poignée de paille et bouchonnait Sagmar avec. Une poignée de paille suffit pour enlever la sueur de Sagmar, car la balade n'avait pas été trop intensive et je l'avait fait marcher au pas pas mal de temps. Je jeta la poignée de paille quand elle fût humide, puis demandais à l'alezan de lever l'antérieur gauche. Il s’exécuta et je le lui cura. Pareil pour les autres. Les sabots étaient vraiment sale, le sable mouillé de la plage s'étant incrusté dedans. Même si je finis par en avoir marre de me courber pendant cinq minutes pour chaque sabots, je continuait mon travail, car je voulait graisser les sabots de Sagmar, et si il y avait pleins de sable, sa n'allait pas aller...
Je finis enfin par finir de nettoyer les sabots de l'étalon. Je les graissait rapidement, de peur que ma graisse se durcisse à cause du froid. Par chance, cela ne ce passa pas. Je pris le bouchon pour enlever le sable qui s'était collés sur les jambes de Sagmar, puis je passait la brosse douce sur tout le corps de l'étalon, à rebrousse-poil puis dans le sens du poil. Le pansage terminé, je sortit du box de Sagmar et commença à brosser le tapis. Les poils de Sagmar s'y enlevaient avec peine et je ne réussit pas à tout faire partir. Tant pis, je le laverai. Je nettoyais le mors, prenant bien soin de ne pas tremper le cuir des rênes et des autres parties du filet. Je nettoyais le cuir avec du savon glycériné, d'abord le filet, puis la selle. La sangle n'étant pas en cuir, je la brossa simplement. Une fois tout le matériel rangée dans la sellerie, je retournais voir Sagmar et lui tendais une friandise. Il la mangea puis en demanda une autre, que je lui tendis.
-« Tiens mon beau. Je vais devoir y aller, maintenant... » Ais-je murmuré en lui faisant un bisou sur le chanfrein.
Il souffla bruyamment dans mes cheveux, puis retourna manger sa ration qu'on lui avait servi au retour de notre balade. Sans lever les yeux de ses granulées,il hennit légèrement.
J'étais un peu triste de partir, mais avais-je vraiment le choix ? Je m'éloignait donc de l'écurie et vu ma mère qui était garé avec la voiture. Je montais à l'intérieur et lançais un dernier regard vers l'écurie pendant que ma mère démarrait.

Résumé du Jeudi 28 mars 2O13 terminé

Résumé terminé !