Paddock de Rakiacko

RAKIACKO
du Haras de Pado

« Vous voyez ces petits poils blancs autour des yeux et du nez de Rakiacko ? C'est ce qui fait craquer la plupart des cavaliers, et cela lui a valu de belles années comme de mauvaises. D'abord poney de club très apprécié, il aimait son rôle de pédagogue pour débutant et compétiteur pour les confirmés. Mais après quelques années il fut acheté par une cavalière qui s'occupait très mal de ce petit pangaré. La moitié de sa vie devenait un cauchemar, mais cet étalon commença à revivre le jour de sa retraite, moment où il a été placé dans la partie des retraités du haras. Depuis qu'il est tranquillement installé dans son pré il est très heureux et n'attend que vos visites pour être aux anges. »

« Rakiacko est un étalon lundy de 25 ans et de robe pangaré. Actuellement son propriétaire est le Haras de Pado. »

Sa fiche

Invité

1^èrerencontre.

Aujourd’hui, j'étais arrivé tôt à l'écurie, comme d'habitude. Je ne m'étais pas encore occupé de S'peece, j'avais d'abord envie d’aller voir un cheval que je ne connaissait pas. Au départ, j'avais prévu d’aller voir les chevaux de Rescue Me, mais je m'étais ravisé. Tout le monde allait s'occuper des chevaux de Rescue Me, mais personne ne s'occupait vraiment des retraités. C'est comme ça que je me suis retrouvé ici, à longer le paddock de Rakiacko, le seul retraité du Haras de Pado. Dès que je l'ai vu, broutant au soleil, j'ai craqué. C’était un étalon noir pangaré, comme S'peece, mais il avait des poils blanc autour de nez et des yeux. Il était sublime !
Je me suis approché de son paddock, et j'ai lu des informations à son sujet, pour en savoir plus sur lui. « Rakiacko est un étalon Lundy âgé de 25 ans et de robe pangaré. »

Rakiacko... J'aimais bien, ce nom, même si au début, j'eus un peu de mal à le prononcer. Je me suis encore approché du paddock, me collant à la barrière de bois.
-« Rakiacko... » Ais-je appelé.
Le bel étalon leva la tête et dressa les oreilles, me regardant attentivement. Je tendis ma main vers lui, et il s'approcha d'un petit trot, élégant malgré son âge. Il renifla ma main, puis me donna un petit coup de tête pour que je le caresse, ce que je fit. Le lundy ferma les yeux dès que je posa ma main sur son chanfrein. Je le caressa de longue minutes. J'étais contente d'être allée le voir. Je savais déjà que je reviendrais souvent voir ce petit étalon. Je l'ai encore caresser, puis j'ai fouillé dans ma poche et y ai déniché une friandise, que je lui tendis. Il la mangea doucement. Je souris. Demain, je pourrais peut-être le panser.

Soudain, il se mis à pleuvoir. Assez fort, voir même très fort. Rakiacko était toujours dans son paddock, mais les écuries des retraités n'était pas loin. Je cherchais un licol des yeux, pour ramener l'étalon à l'écurie. Je tenais absolument à l’amener là-bas, car l'étalon était déjà vieux (donc fragile) et il pourrais facilement attraper une maladie. J'ai finit par apercevoir un licol qui devait sûrement être rouge avant, mais qui était décoloré, à présent. Je le pris, puis entra doucement dans le paddock. Rakiacko s'approcha de moi, et je le caressait tout en lui passant le licol. Je le ramenais à l'écurie, puis le mettais dans son box. Je passais le couteau de chaleur sur son corps mouillé par la pluie, puis achevais de le sécher avec une serviette-éponge.
-« Voilà mon loulou, tu es à l'écurie maintenant, à l'abri de la pluie. »
Je lui mis un peu de foin qu'il ne tarda pas à grignoter, puis je sortit de son box après lui avoir retiré le licol. Je le rangeais, puis tendais une dernière friandise à l'étalon. Il la mangea, puis je lui fit un bisou sur les naseaux et m'éloigna dans l'écurie. Je rabattit la capuche de mon K-way sur ma tête avant de sortir, puis je sortais de l'écurie et courrait sous la pluie, pour me mettre à l'abri dans l'écurie des propriétaires.

« Rakia a apprécié le foin et être au chaud dans l'écurie »

confiance + 03 %
moral + 04

+ 2 pommes

Rencontre avec Rakiacko

Ce matin, je m'étais occupée de Twister, un de mes poneys et de Chinatown, un étalon dont je m'occupais à Rescue me. Je décidais de faire un tour dans le refuge mais aussi dans les paddocks des retraités. Je me rendais dans un chalet qui servait de remise et de rangement pour les médicaments, de nourriture, etc. pour les chevaux abandonnés et les vieux chevaux du Haras de Pado. Il y avait un papier affiché sur un panneau de bois sur lequel était écrit "Rakiacko, étalon Lundy de 25 ans, a reçu la visite d'Eline le 11 avril 2013 et aimerait qu'on s'occupe de lui plus souvent". Il était déjà 19h passé et mon père ne venait me chercher que dans une quarantaine de minutes. Je décidais donc de rendre visite à Rakiacko. Je prenais alors un licol et des brosses puis je marchais dans un chemin bordé de paddocks vides. J'arrivais devant le paddock de l'étalon et au fond de celui-ci le cheval dont j'allais m'occuper trotter. C'était un magnifique étalon Lundy de robe noire pangarée ! Il avait aussi quelques poils blancs autour du nez et des yeux. J'ouvrais la porte du paddock et entrais dedans. Je marchais tout en sifflant l'air mélodieux d'une chanson que j'avais entendu la veille. Quand je fus à quelques mètres de Rakiacko, celui-ci s'immobilisa et me regarda. Finalement, il se décida à avancer vers moi. Je caressais son chanfrein puis lui mettais le licol. L'étalon dressait la tête et observait attentivement ce qui se passait au loin. Je caressais sa longue encolure puis commençais à le brosser. Je l'étrillais, le bouchonnais, peignais ses crins, passais la brosse douce et époussetais sa robe. Ensuite, je curais ses pieds puis les graissais. Rakiacko était aussi brillant qu'une pierre précieuse. Il commençait à faire noir et je devais rentrer le retraité dans son box. Arrivé devant celui-ci, je le trouvais retourné et sale. Je décidais alors de le nettoyer en vitesse. J'attachais Rakiacko à la barre d'attache puis je prenais une fourche, un balai et une brouette. J'enlevais la paille sale que je mettais dans le brouette, balayais le box, allais jeter le contenu de la brouette et rangeais cette dernière. Je revenais avec un ballot de paille à la main. Je le posais, enlevais les ficelles et éparpillais la paille dans tout le box. Je mettais la fourche et le balai à leur place, revenais au box de Rakiacko et installais du foin dans son auge et vérifiais que son abreuvoir soit propre. Une fois le box prêt, je rentrais l'étalon Lundy dedans et attendais à l'extérieur qu'il mange un peu de foin. Une dizaine de minutes plus tard, je lui amenais du grain et une ou deux bettraves. Il était heureux comme un roi. Je le caressais une dernière fois et quittais l'écurie des retraités dont Rakiacko était le seul pensionnaire. Je marchais jusqu'au parking du Haras de Pado où mon père devait venir me chercher.

J'attends donc la fin.

Résumé terminé.

confiance + 04 %
moral & soins + 05

+ 02 pommes

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