| | | Box de Quelquefois |  |
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| Sujet: Box de Quelquefois  Mar 12 Fév - 10:16 | |
| QUELQUEFOIS
« Les welshs ont toujours été des poneys impressionnants et qui savent se faire remarquer lors de concours ou autre. C'est tout le contraire de Quelquefois, timide et réservé si il pouvait resté enfermé dans son box il le ferait. Il ne s'affirme pas et n'a pas confiance en lui. Il lui faudra donc un cavalier capable de le révéler au grand jour. A 11 ans il ne connait toujours pas sa voie. Du saut d'obstacles, du dressage, de la voltige ou autre chose ? Il ne sait pas. On ne l'a pas guider vers une discipline plus qu'une autre mais ayant fait du club toute sa vie il est très polyvalent mais n'est pas spécialisé. A vous de découvrir ce qui lui conviendra le mieux et de vous lancer dans l'aventure. D'un point de vu contact avec l'homme il reste dans la même optique, timide et réservé, il faudra le bouger un minimum pour qu'il retrouve la pêche de ses 4 ans. La crise de la quarantaine ? Possible mais a ce moment là cela lui passera et vite ! » |
« Quelquefois est un étalon Welsh de 14 ans et de robe grise pommelée. Actuellement son propriétaire est Whappa. » |
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| | | | Whappa
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| | Sujet: Re: Box de Quelquefois Ven 22 Fév - 18:07 | |
| 1, 2, 3,
Apprends-moi ! Suite aux vacances de carnaval ainsi que le 'déménagement' du Haras de Pado je suis perdue. Mais pour me remettre toutes les idées en place rien de mieux que d'aller voir ma petite merveille grise qui attends certainement une visite de ma part depuis quelques jours. Pour cela j'ai organiser une sortie en longe et liberté avec Rhéa et son beau cheval noir, Oeil de Nuit. Au départ il était prévu que Pêche Melba et Fleurette nous rejoignent mais deux jours plutôt celles-ci on désisté par manque de temps. Il est donc temps d'aller s'occuper du loulou avant toute chose. La Météo a annoncé du nuageux et c'est exactement ce qu'il fait mais un petit vent froid me pince les joues tout de même.
J'entre dans les écuries, en ouvrant la porte une rafale d'odeurs équines me fouettent le visage et me réchauffe imédiatement. Une fois la porte refermée et avoir fais quelques pas je me déshabille déjà un peu, ayant peur d'avoir trop chaud, je bouge mon écharpe et la dépose sur le crochet du box vide de l'entrée. Je ne prends pas le temps de m'arrêter dans le box de mon poney et pars directement à la sellerie pour aller chercher le harnachement. Lorsque je suis devant la porte fermée j'essaye de l'ouvrir et constatant qu'elle est même vérouillée à clés, je cherche les miennes dans la poche de mon petit manteaux bordaux sans manches. Interpellée par un bruit, je regarde et aperçois ce beau garçon, Anthony, rencontré lors de la veille. Il n'ettoye des boxs, mais bon après tout ma co-gestionnaire l'a engagé pour ça. Je reste les yeux fixés dessus un long moment avant de reprendre mes esprits et insérer la clé adaptée dans la serrure. J'ouvre et entre en me dirigeant directement sur le matériel de monte de Quelquefois. Là, là, part ici, çà et çà. Je récapitule vite dans ma tête : Tapis de selle bordeaux, amortisseur, selle, bride, guêtres et avant toute chose, mon kit de pansage. C'est en ressortant et fermant la porte que je réfléchis et constate que je n'ai pas besoin du matériel de monte mise-à-part les guêtres et la bride vu que je vais sans aucun doute longer et travailler mon welsh gris en liberté. Mais après tout, vaut mieux trop que trop peu, je retirerai en cas de besoin. Je vérouille la serrure en lance un dernier regard vers Anthony, qui ne me voit pas, avant de partir vers le box de mon petit gris.
Quelquefois, ayant vu mon premier passage attend paisiblement à la porte, mais il m'attend ! Joyeuse, je lui souris et l'appelle d'un claquement de langue et le poney tourne la tête à mon égard, les yeux gros comme des billes. Je ris à mi-voix et ouvre le loquet, prends le bouchon directement vu que Quelquefois étant rasé et n'ayant pas quitté son box pour aller au paddock n'est pas très sale. Je lui retire la couverture de box et la chemise qui lui tiennent chaud et je passe vite un petit coup un peu partout sauf sur la tête toute entière. Je brosse ensuite avec la plus douce comme avec la précédente en passant à l'intérieur des jambes et cette fois-ci, sur la tête. J'essaye d'éviter les petits yeux sensibles de mon poney et trocque ma brosse contre le peigne à crins. Et démèle en même pas deux minutes sa crinière, son toupet ainsi que sa queue. J'échange alors cet engin de soin contre un tout dernier : le cure-pieds. Je prends le sabot avant droit et grattouille à l'aide de mon outil, fesant très attention à la sensibilité de la fourchette. Je passe aussi un coup de brosse à sabots dans chaque pour que la netteté soit encore plus flagrande. Je peux enfin équiper mon brave welsh.
Il s'agit simplement de l'équipement de base vu que je ne vais, à mon avis, pas monter Quelquefois. Le tapis, l'amortisseur et hop ! La selle. J'accroche en premier lieu la sangle à droite, n'oubliant pas le passant de sangle du tapis pour ne pas que ce dernier glisse. Ensuite je vérifie qu'elle passe bien juste derrière les menbres avant et serre de quelques trous. J'étends les jambes avant de Quelquefois pour ne pas qu'il se blesse au niveau de la sangle, enfin c'est se que l'on m'a toujours dit. Je place les guêtres sur les tendons du poney et termine par brider. Je l'embrasse sur le chanfrein et referme le box, repartant vers la sellerie car j'ai oublié quelque chose. Je cherche et trouve une longe accompagnée de son stick assorti ainsi qu'un couvre-reins pour mon pèpère, il ne faut pas qu'il attrape froid ! Je retourne vers mon welsh gris pommelé et lui installe le couvre-reins sur le dos, accrochant le scratch devant la selle, lui prends les rênes, ouvre la porte et pars avec lui en direction du manège.
Je reviens comme à mon départ du Domaine du Lively, à coter de mon beau poney. Il transpire légèrement c'est pour cela que je ne m'attarde pas dehors et entre directement dans la box de Quelquefois en vue qu'il ne prenne pas froid. Je le découvre de son couvre-reins brun à trois tons et je constate qu'il frissonne. je ris et m'approche de lui comme pour le réchauffer de mon petit corps. J'enlace son encolure et enfuis mon nez donc son encolure ou se forme déjà un nouveau petit duvet. Je souris et ne tarde pas à déséquiper entièrement Quelquefois afin de le couvrir rapidement. Se serait vraiment ballot de se prendre un coup de froid à l'intérieur de l'écurie ou la respiration chaudes des chevaux trahissent l'ambiance. Je pars à la sellerie pour partir ranger le tout. Je reviens, les poches chargées de bonnes friandises. Impatient de vouloir déguster toutes ces bonnes choses Quelquefois veut fouiller mais je lui en interdit. Il ne faut pas qu'il attrape de sales habitudes, ces habitudes de gros poneys pourris gatés ! Bref, je jette avec un peu d'élan les couvertures l'une après l'autre sur le dos de mon gris pommellé et attache le devant ainsi que les sangles pour qu'elles ne glissent et tombent lors de la nuit. C'est alors que le meilleur moment arrive, il est là.
Je nourris mon poney de sucrerie en tout genre tel que : quartiers de pommes, carottes, bonbons aromatisés aux fruits ou encore deux trois sucres. C'est clair, Quelquefois n'ira pas dormir moins gros cette nuit, même s'il ne l'est pas. Mais après cette séance, même s'il y a eu de bons et de mauvais moments Quelquefois m'érite d'être rcompensé. Je termine le moment par un gros calin à l'encolure de mon poney avant de repartir sans oublier de fermer le loquet. | |
| | | | Touch'
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| | Sujet: Re: Box de Quelquefois Dim 24 Fév - 20:38 | |
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| | | | Whappa
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| | Sujet: Re: Box de Quelquefois Ven 1 Mar - 21:06 | |
| Ton chemin, le mien,
Le notre. ♥ Résumé --> Arrivée mouvementée puis pansage complet/harnachement pour la séance et moment calins après. Une poignée de jours après ma séance d'endurance avec Camille je m'apprête à faire de même mais cette fois-ci en saut d'obstacles et bien sûr avec un autre de mes protégés. A mon avis j'ai la particularité de choisir mes jours. Des jours ou le temps est gris, nuageux, surchagé. Une temps maussade et mauvais pour le système psychologique. J'en ai vraiment marre de ce manque de lumière, de luminosité et de chaleur, vivement le beau temps, hâte d'être en été tout simplement.
En descendant de la voiture, je fais signe à mon pére et entends remuer dans l'écurie principale. Divers hennissements, des bruits de sabots qui grattent le sol, des renaclements, ... Un son infernal. Apeurée à l'idée d'ouvrir l'entrée de l'écurie et voir mes chevaux s'enfuir au triple galop je reste figée devant la porte de bois, ne sachant que faire. J'ai largement le temps de regarder la porte pour une fois et remarque un petit trou, un défaut dans le bois, à deux mètres du sol. J'essaye de regarder mais je n'y parviens pas, je suis malgré mon mètre soixante-cinq, trop petite. Les bruits ne cèssent pas et continuent. Ils agissent de façons irrégulière par rapport à la hauteur du son. Je décide de prendre mon courage à deux mains et de coulisser légèrement la porte sans faire trop de bruit et sans laisser une trop grande ouverture non plus si l'un des chevaux serait sorti. Hélas quand j'ouvre la porte je me fais remarquer par certains chevaux qui sortent leurs têtes et aussi tôt ils se taisent. Tous, sauf un. J'entre et regarde certaines portes mais les loquets n'ont pas été forcé. Je réalise que je m'inquiétais pour rien vu que tous les chevaux sont dans leurs boxs. Le bruit continue mais moins important que toute à l'heure, à présent il n'y a qu'un cheval qui met la pagaille dans l'écurie malgré qu'il soit dans son box. Ce cheval s'appelle L'Eclat D'Or. J'ai d'autres chats à fouetter pour le moment et me promets de m'en occuper plus tard, pour l'instant je dois me depêcher à m'occuper de Quelquefois, sachant que j'aimerai arriver un peu à l'avance pour prendre notes de la situation des obstacles appartenant à la carrière.
Je ne perds pas une minutes et me charge d'un maximum de choses afin de faire le moins de trajets possibles et donc de gagner un certain temps. Je pose mon harnachement en grande partie sur le porte selle et d'autres choses par terre ou bien sur le rebord de la porte. J'entre près de l'étalon avec un kit de brosses. Je le pose et m'approche de lui, les deux mains jointes pareil à une mendiante. Mais je ne demande ni nourriture ni argent, juste une part de reconnaissance et qu'il vienne me renifler les mains. Il hésite mais vient. Je le félicite et repars chercher l'étrille, deux pas plus loin. Je m'aperçois que je n'en ai absolument pas l'utilité. Je la pose et prends le bouchon à la place. Quand je pose ma brosse sur la croupe de Quelquefois il tremble. Je commence à brosser tout en gardant une main sur sa hanche afin qu'il ne tremble pas sans arrêt. Je la passe de manière non régulière sur le ventre avant de prendre la brosse douce. Un coup par-ci, un coup par-là et la poney ne frémit même pas. Je le flatte avant de 'l'arroser' de démélant et peigner péniblement. C'est vraiment l'une des parties du pansage que j'aime le moins. J'en viens à l'avant dernière étape : le nottoyage de sabots. Je cure la masse sale dans chaque sabots avant d'y passer ma petite brosse dure pour plus de netteté. Lorsque je veux faire le premier oeil de Quelquefois avec ma lingette humide il rélève la tête subitement, les oreilles légèrement en arrière. Ah mais il ne va pas jouer avec mes pieds longtemps celui-là ! J'attrape son chanfrein de la main droite et la gauche je passe le petit chiffon doux sur son oeil. Je changes de position afin de faire celui de l'autre coté. Je n'oublie pas les muqueuses et jette la lingette sale dans mon bac, me promettant de la jetter plus tard. Je passe ma main du garot à la croupe plusieurs fois pour montrer au poney que j'ai des sentiments pour lui. Je souris toute seule, pensant à de vagues souvenirs. J'équipe le welsh car à présent mon temps est compté.
Je passe en revue le harnachement du bonhomme avant de partir un peu à l'avance à la carrière, équipée de mon casque. Tapis, amortisseur, selle, bridon, guêtres et collier de chasse. Je pense que tout y est et s'il me manque quoique ce soit je m'en passerai. J'attrape un élastique à cheveux dans la poche de mon blouson et me fais rapidement une queue de cheval asser basse qui ne peut pas gêner mon casque. Je le mets et l'attache. J'ouvre la porte d'un coup de bassin et sors mon poney, n'allant pas trop vite au départ car il a très souvent les jambes endormies à resté dans un box la plus part du temps.
Nous trottons pour revenir. Nous n'avons pas chaumer lors de la séance, c'est vrai, mais il suffit de cinq minutes, le temps de revenie jusqu'au Domaine du Lively pour mourrir de froid et avoir le nez qui coule. J'arrête le poney devant la porte de bois et saute le plus rapidement possible à terre, prenantn de vitesse les rênes de Quelquefois avant d'entrer en faisant coulisser la porte. Je la referme et souffle un coup. Mes orteils, mes doigts, mes oreilles ainsi que le bout de mon nez son frigorifiés. Je me charge de mon poney avant toute chose car il le mérite mieux que moi, que quiconque d'ailleurs. Je commence à le déséquiper, prenant soin de passer un petit coup de chiffon sec et doux sur mon harnachement pour qu'il reste propre et brillant. Je replie le couvre reins avant de vite passer un coup de brosse douce sur tout le corps du poney, évitant un maximum le contact avec les yeux. Je prends ses lourdes couvertures et lui place correctement pour ne pas qu'il se blesse.
"Voilà mon chat, tu n'auras pas froid normalement." lui dis-je en replaçant mes mains tel que quand je suis arrivée.
Mais Qualquefois à tout compris et plonge son nez dans mes paumes, attrapants le quartier de pomme qui lui est destiné. Je ris et pose mon front sur le haut de son encolure, le caressant d'une main, des oreilles jusqu'à l'épaule environ. Toujours le sourire aux lèvres, je me redresse en entre mes deux mains de chaque coté de son potrail dans ses couvertures. C'est mon oreille gauche que je pose sur le bas de son encolure à présent. Je profite de ce moment de complicité avec mon welsh et embrasse son cou sans arrêt. Il s'ébroue et je souris, sortant mes mains de cette source de chaleur. J'en approche une de son chanfrein tout doucement pour ne pas l'effrayer et lui ebouriffe très lentement le toupet. Je lui donne un dernier baiser sur la joue avant de resortir une friandise de ma poche et de lui montrer. Il frémit des naseaux deux fois avant de tendre le cou pour venir renifler. Gentillement, il soulève sa lèvre supérieure et essaye de l'attraper. Il chipote et me fais rire c'est pourquoi je lui donne la main à plat. Pendant qu'il mastique je sors du box, referme et repars ranger mon matériel, la routine ... | |
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| | Sujet: Re: Box de Quelquefois Sam 2 Mar - 19:55 | |
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| | Sujet: Re: Box de Quelquefois Ven 8 Mar - 20:21 | |
| Ensemble,
Toujours. Résumé -->Gros pansage complet avant la séance puis séchage après. Une semaine. Cela fait déjà une semaine que je n'ai plus su remettre un pied dans les enceintes du Domaine du Lively. A vrai dire, avec la vie à coté ce n'est pas toujours facile de pouvoir venir s'occuper de ses chevaux ou encore de les monter. Aujourd'hui c'est la fin de semaine ce qui veut dire que demain c'est le week-end. Je profite alors pour passer au Haras et m'occuper d'un cheval en cette fin d'après-midi. Après minces réflexions je compte m'occuper de Quelquefois, le welsh a été le dernier sorti, mais il manque cruellement de capacités pour son âge alors il passe en premier lieu. Je passe rapidement en revue devant tous les boxs, autant bien ceux qui abritent les chevaux d'Etoly que les miens. Je vérifie l'état de l'abreuvoir par la même occasion et constate qu'elles sont vraiment bien propres pour une fois, ainsi que les boxs fraichement paillé. Encore un accomplissement du bel Anthony sans doute. Décidément, il a tous pour me plaire. Je ne m'attarde plus car malgré tout l'heure tourne. Je vais à la sellerie m'accaparer du matériel de soins ainsi que celui de monte de Quelquefois avant de retourner à son box. Je dépose le harnachement à sa place habituelle et m'approche de Quelquefois qui a sorti sa tête pour observer se que je fais. Je lève doucement une main et lui caresse le chanfrein avec affection. Le welsh ferme les yeux.
"C'est pas l'heure de dormir mon grand, on va aller travailler un peu avant !" lui dis-je sympathiquement.
J'aurai aimer qu'il me réponde par un simple geste comme un hochement de tête ou encore une lèche sur l'avant-bras, mais de nature timide il ne fait rien et me regarde dans les yeux tous simplement. Néanmoins il reste mon poney, mon Quelquefois, le mien rien qu'à moi. Je souris et l'embrasse sur le chanfrein avant de lancer un oeil furtif derrière moi pour voir si les autres équidés nous regardent. Par chance ils sont déjà tous repartis dans leurs occupations habituelles. Je ne tiens pas à se qu'il y ai de crises de jalousie. Je prends mon bac à brosses, y sors une étrille puis pénètre dans le box, enlevant les couches de tissus une à une. Quesque j'en ai marre de voir ces couvertures ! Vivement le beau temps, encore une fois. Comme à chaque pansage je travaille sur le corps du poney en mouvements circulaires, faisant bien attention à rester sur les parties charnues. Je prends le bouchon et dépose mon étrille. La brosse aux poils dure me sert à insister un peu plus sur les tâches sans pour autant blesser mon étalon. Quelquefois tend les oreilles vers l'avant sans arrêt mais tous le reste de son corps reste sans un geste, immobile comme toujours. Mise à part sa timidité légendaire d'on je commence seulement à le faire sortir petit-à-petit, Quelquefois n'est pas un poney difficile, j'ai tellement de chance de l'avoir. Je repasse une dernière fois le bouchon sur tout le corps de Quelquefois à rebrousse poils pour pouvoir passer la brosse douce et enlevé encore plus de poussière, d'après ce que l'on m'a dit. Et pour clore ce x'ième pansage sur toute ma vie de cavalière je passe l'étrille, remmettant les poils du gris pommelé dans le bon sens par la même occasion. La robe quant-à elle est entièrement terminée, alors je contine en humidifiant la crinière et la queue touffue de l'entier avec du démélant. J'attrape le peigne et commence à déméler mèche par mèche les crins blanc-gris du poney. J'arrache quelques crins par-ci par-là par maladresse et passe une toute dernière fois ma main dans ceux-ci pour vérifier qu'il n'y a plus de noeud. Vu que cela n'est pas le cas j'enchaine en nettoyant les sabots à l'aide de mon fidèle cure-pieds et de sa brosse assortie. Je fini de curer le premier sabot et le relâche sans trop faire attention, comme toujours. Mais cette fois Quelquefois est distrait et le laisse retomber lourdement sur le sol, se qui émet un bruit grave, très mate. Je tapote son épaule pour qu'il se concentre un peu et fais le deuxième pied. Je le lache lui aussi et le welsh le laisse encore tombé, mais juste avant qu'il ne touche le sol il le retient, le soulève puis le repose, patient. Je le flatte et termine avec le nettoyage des yeux, des naseaux et des commissures des lèvres avec deux lingettes fraîches.
Pour changer de la routine je commence par mettre le filet à Quelquefois. Je passe ses oreilles assez difficilement vu qu'il fuit à coups de tête. Une fois que j'y suis parvenue je caresse l'encolure de l'étalon et attache la muserolle ainsi que la sous-gorge que je monte jusqu'au dernier trou. Je me dépêche et n'entends pas le martellement sur la toiture de l'écurie. Je pose le tapis à la rock-and-roll, l'amortisseur et ajuste rapidement les deux avant de déposer la selle sans la laisser tomber comme un sac à patates sur le dos de Quelquefois. Je dégarote et sangle en passant rapidement un coup de brosse sur la sangle pour enlever les quelques poils restant du dernier nettoyage. Je ne sers pas à fond pour laisser le welsh respirer encore quelques minutes et me rapelle de le refaire plus tard. Je m'équipe à mon tour d'une bombe et d'une paire de gants pour éviter les cloches. Je prends les rênes au dessus de l'encolure du poney et le mène tranquillement jusqu'à la porte de bois. J'ouvre et un spectacle de grêle se précipite devant moi. Je soupir et lance un regard déséspéré à Quelquefois qui n'en pense pas moins que moi. J'imite un claquement de langue pour l'inciter à se dépêcher, nous trottons l'un à coté de l'autre sous les giboulés de Mars, impatients de rejoindre le manège couvert.
Nous rentrons au petit trot, l'un à coter de l'autre et ralentissons pour ne pas glisser dans l'allée des boxs. Je remonte mes étriers, désangle et déséquipe totalement Quelquefois, passant un coup de brosses ou de chiffon sur le cuir pour ne pas le griffer. Je range tous dans la boite ou sur le porte selle, sèche Quelquefois avec de la paille en quatrième vitesse avant de lui remmettre ces couvertures. Je l'embrasse amoureusement puis repars en trottinant, sur les nerfs, sachant que mon père peste déjà dans sa voiture. | |
| | | | axelle.
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| | Sujet: Re: Box de Quelquefois Sam 9 Mar - 18:34 | |
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| | Sujet: Re: Box de Quelquefois Sam 30 Mar - 8:17 | |
| Le chemin comblé d'obstacles et d'embuches
Est celui qui mène à la grandeur. Résumé --> Gros pansage avant et séchage après la séance. Moments câlins à plusieurs reprises. Récement je me suis inscrite au tout nouveau meeting proposé par le haras. La discipline est le saut d'obstacle et j'ai choisis de concourir sur le dos de mon charmant poney welsh, Quelquefois. Je sais très bien que nous ne gagnerons pas, d'ou moins pas la première place, mais rien que le fait de concourir me met de bonne humeur. Hélas, le concour est encore à quelques jours et il ne faut pas que je chaûme, encore moins Quelquefois si on voulait mettre un maximum de chances de notre coté d'être bien classés. C'est pourquoi je mets rapidement tout en marche pour arrivée de très bonne heure au Domaine, qui d'habitude, n'est absolument pas le cas. Ne voulant pas réveiller mes parents pour leur premier jour de congé je suis partie à pied, laissant un petit mot sur la table de la salle à manger au cas ou ils s'inquiéteraient de mon absence ...
Mes pas font grincer le gravier sous mes boots, la pluie martelle mon k-way, je me précipite d'entrer et d'ouvrir la grande porte de bois pour qu' aussitôt, une rafale d'air chaud, sec et qui sent le cheval englobe mes narines. Je souris en refermant derrière moi. Si il y a bien une chose que je déteste par dessus tout c'est d'être habillée et à la fois mouillée. J'enlève mon k-way détrempé et le pose sur un crochet à coté d l'entrée pour le laisser s'égouté jusqu'à temps que je reparte. Malgré que nous sommes en Mars, il ne fait pas si chaud que çà, mise à part dans les écuries ou la chaleur des chevaux se propage dans l'air ambiant. Je frissone et sur ce, me mets directement en action, étant sur qu'en mouvement je n'aurai plus de frissons qui me parcourent la colone vertébrale. Je frictionne mes mains tout en avançant vers la sellerie, encore une fois fermée à clé. Je remarque que je ne les ai pas sur moi et commence à paniqué quand soudain je me rapelle les avoir mise dans la poche droite de mon manteau. Je porte ma main jusqu'à mon front avant de rebroussé chemin jusque là-bas. Je peux enfin ouvrir la sellerie et y entrer pour prendre tout ce dont j'ai besoin. Un peu perdue au début n'ayant plus monté depuis un petit mois, je regarde autour de moi comme si tout avait changé. Plus le temps avance, plus je me remémore. Pour ce qui est du matériel de monte je n'ai pas trop de probléme vu que les cuirs de mon poney sont posé sur des crochets ou porte-selle ou juste au dessus, collé au mur, son prénom est inqiqué sur une étiquette plastifiée. J'organise mes bras afin de transporter l'harnachement le plus facilement possible jusqu'au box de Quelquefois. Je me dirige vers la sortie et au passage, m'abaisse légèrement pour chopper le kit de pansage de ma dernière main libre.
Malchanceuse comme je suis, je laisse tous, d'ou moins la plus grande partie, dégringoler de mes bras vers le sol dans un brouarah infernal. Quoique dans ma malchane je suis chanceuse, j'ai céder tout pile devant le box de Quelquefois, pas à coté du porte selle mais deux mètres plus loin. Je soupire en décidant de tous laisser là, de toute façon je vais bientôt dégager le passage, donc après tout ... Je prends directement l'étrille pour entrer dans le box de mon poney. Je le salue en positionnant ma paume sous son nez. Il renfile puis baisse la tête pour brouter du foin fraichement déposé ce matin. Je souris en bougeant ma tête de gauche à droite succesivement. Lapremière chose que je fais, je mets le loulou tout nu. Je lui enlève sa chemise et son épaisse couverture de box. Je les 'jette' dans un coin du box propre en attendant. Alors, je commence réelement mon travaille de cavalière et passe sur la robe grise pommelé en mouvements circulaires. Je tâche à ne pas trop appuyer pour ne pas griffer la peau de l'étalon. Je passe ensuite au bouchon, passant au même endroit et en ajoutant les quatres menbres ou je passe un certain temps vu que les poils d'hiver commence à tomber. Il en tombe beaucoup, s'est à ce moment là que je me dis : bravo d'avoir penser à le tondre. Je continue mon pansage avec la brosse douce, contournant le rebord des yeux et des naseaux. Je prends une oreille et frotte doucement à l'intérieur. Quelquefois n'aime pas ça et il me le fais comprendre. Il fuit mes gestes et parfois, plaque même ses oreilles vers l'arrière.
" Oh et ! Doucement, ... C'est bientôt finis de toute manière." lui dis-je avec attention et détermination.
Quelquefois reste distent et je n'apprécie pas ça. Donc, avant de passer aux crins, pieds et petites retouches je décide de lui offrir un petit moment calin. Je pose mes affaires et m'approche vers lui, déposant une main sur chaqu'une de ses joues. Je fixe ses yeux, ne détachant pas mon regard. Je finis par descendre mes mains jusqu'à son nez. Je le soulève afin de le poser sur mon épaule gauche, de façon à se que je dépose mon oreille tous près de lui. J'enlace son encolure et ferme les yeux pendant une dizaine de secondes. Vu comme ça, le temps passe très lentement, mais il est temps de se remettre au travail. Je repousse Quelquefois toute en douceur et pars chercher la brosse à crins à l'autre bout du box. Je démèle toupet, crins et queue avec entrain avant de passer aux sabots. Je cure, brosse et finis mon pansage par passer une lingette humide, celle de la fois passée avec Crumble, toujours propre puisqu'elle ne m'avait pas servit. Quelquefois se laisse faire et semble tout de suite plus content et attentif à ma présence. Je souris et l'embrasse rapidement sur le coin de ses naseaux car il me reste encore à l'équiper.
Je vais équiper Quelquefois avec stratégie. Je prends le beau tapis de selle vert pomme ainsi que l'amortisseur en mouton blanc qui here sur le sol depuis le début. Je les dépose non sur le dos du gris pommelé mais sur le rebort de la porte. Je prends la selle et la dépose dessus, ajustant bien chaque chose par apport aux autres. Ensuite, je prends les trois harnachement d'un seul coup et les dépose uniformément sur le dos du welsh. Il ne me reste plus qu'à sangler mais je dégarote une seconde fois tout de même. Je ne sers pas à fond, laissant mon entier respirer encore un peu avant de commencer sa reprise, mais suffisament pour que cela tienne sur son dos. J'étends ses antérieurs et y dépose des guêtres ainsi que des protéges-boulets aux postérieurs. Je vérifie si ses tendons ne sont pas chauds et je souris en vérifiant que ce n'est pas le cas. Je finis par brider avec le bridon noir flambant-neuf monté avec la frontal à strass. Le poney accepte le mors sans difficulté et je le félicite d'une caresse. Je régle la muserolle et la sous-gorge avant de remonter les rênes et de reculer pour constater :
"Quesqu'il est beau mon poney ..." avec une voie pleine de passion.
J'enfile mes gants un après l'autre et ma bombe que j'attache soigneusement. Je prends les rênes de mon poney, le caressant de ma deuxième main par habitude. Je le fais marcher le long des boxs et il s'arrête de lui même près des juments mais aussitôt je le fais redémarrer. Cra malgré que Quelquefois soit un petit poney tout mignon tout peureux, il reste ce qu'il est : Un étalon. Je m'arrête devant la porte de bois afin de l'ouvrir, voyant la drache devant nous, nous reculons d'un pas en même temps, sans le vouloir. Je regarde mon poney et lui souris avant de regarder à nouveau la pluie tomber telle des bombes incendiaires. Je soupir et claque de la langue pour inciter mon poney à me suivre le plus vite possible.
Je trottine à coté de Quelquefois qui trotte fièrement, la tête haute sous la pluie de mars. Nous entrons dans l'écurie, mouilés mais n'attendons pas une seconde de plus pour nous secher. Je montre le chemin de son box au poney et le déséquipe dés qu'il y est entré. Je pose tous sur le rebord de la porte, légèrement en désordre. Je m'accroupis et empoigne des grosses touffes de paille fraichement jaunie avant de rassurer Quelquefois et de le frictionner avec cette paille pour le secher au maximum. Quand je le frotte tout près de sa tête, autrement dit sur l'encolure, il s'énerve et commence à paniquer. Je mets ma bouche en coeur et sifflote doucement pour le calmer. J'en finis par lâcher la paille et caresser son encolure jusqu'à arriver les deux mains sur son chanfrein. Je succède paume l'une après l'autre en descendant le long de sa liste blanche comme neige. Puis, je m'avance d'un pas sans le brusquer et poser mon oreille gauche contre son encolure du même coté. Je ferme les yeux et écoute. Son rythme cardiaque est tout à fait normal, Quelquefois n'est plus paniqué, je souris et l'embrasse tendrement là ou j'ai tout écouté. Je décide de lui mettre un peu sa couverture de séchage pendant une petite heure, je viendrai la ranger après ensuite. J'en profite pour reprendre mon matériel, je vais à la sellerie, autant faire une paire deux coups. Je n'oublie pas de fermer le loquet, fébrilement d'une main avant de partir déposer tous çà à la sellerie.
Bien pliée, la couverture semble toute petite et fine dans mes mains. Quand je marche j'ai une gêne au niveau de la poche avant droite de mon pantalon d'équitation, évidement, celleci est remplie de sucrerie pour le petit gris. Quelle idiote ! J'arrive près de Quelquefois le sourire aux lèvres, j'ouvre la porte, déplie la couverture dont une partie qui tombe sur la paille. Je sifflote gentillement et la 'lance' sur le dos musclé du welsh. qui fait un léger écart à l'occasion. Je flatte son encolure pour le rassurer, Quelquefois est timide, mais cette maladresse engendre aussi la peur. Quel désastre. Toutefois, j'aime mon poney plus que tout au monde, c'est pourquoi je prends mon temps à enlever la paille qui s'est accrochée à la matière de la couverture de séchage lorsque celle-ci à effleuré le sol. Je termine mon entrevue avec le petit gris en lui proposant un bonbon aromatisé à la pomme juste sous son nez. Il le prend et croque et faisant pas mal de bruit. Je souris et dépose le reste dans la mangeoire en plastique vert. Je me tourne face au chanfrein du gris pommelé et pince mes lèvres en ébourrifant son toupet dans geste doux mais bref. Il commence à secouer sa tête et son encolure avant de poursuivre dans sa colonne jusqu'à dans sa queue. Je ris en formant une pomette sur chaqu'une de mes joues et repars, n'oubliant pas de refermer derrière moi. Je marche le long des boxs avec Quelquefois qui mastique ses autres sucreries en bruit de fond.
Dernière édition par Whappa le Mer 10 Avr - 12:56, édité 3 fois | |
| | | | Touch'
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| | Sujet: Re: Box de Quelquefois Sam 30 Mar - 15:59 | |
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| | Sujet: Re: Box de Quelquefois Mer 10 Avr - 12:58 | |
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| | Sujet: Re: Box de Quelquefois Jeu 11 Avr - 14:59 | |
| - Il est gâté ton Quelquefois avec tout ces câlins !
confiance + 12 %
moral & soins + 09
+ 6 pommes
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| | | | Whappa
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| | Sujet: Re: Box de Quelquefois Lun 13 Mai - 15:53 | |
| M'en aller,
S'évader ♫ Se fardeau que je supporte chaque jours, entre les cours et les disputes entre amies, j'ai vraiment besoin de me libérer. Je rentre plus tôt que prévu des cours cette après-midi, ma professeur de math n'étant pas là. Pour une fois que je l'apprécie ... J'en profite pour prendre un quatre heure sà la maison, vite feuilleter mon journal de classe. Je constate que je n'ai aucun devoirs. J'entends mon frère crier devant sa PlayStation, j'ai vriament besoin d'air. Je balance ma farde sur mes draps de lit et ouvre mon armoire, m'habillant ainsi d'une tenue légère pour aller monter. Un bas couleur jean's et un t-shirt fushia aux écritures turquoise pour mettre un peu de couleur, voilà avec quoi je m'apprête. Je chevauche mon vélo et pédale à toutes vitesse, ne prévenant pas ma famille, de toute façon quand je fugue je ne pars jamais bien loin et en plus je me trouve à chaque fois au même endroit, je rejoins le Haras. J'arrive au Domaine ou mes équidés sont logés, je laisse tomber mon vieux vélo contre le sol et trottine tête basse vers les écuries où je compte retrouver mon étalon welsh, mon doudou, mon seul amour.
Je le salue amicalement et lui tends ma main. Comme toujours il hésite puis finis par renifler pour poser le bout de ses naseaux dans le creux de ma main. Je souris en sentant son souffle chaud tapper dans ma paume. Je passe une autre main autour de ses yeux en hochant légèrement la tête. Je finis par le caresser tout le long de sa liste jusqu'à tomber dessous son nez. Je tourne comme une ballerine sur la pointe de mes pieds pour éxecuter un demi-tour sur moi même. Je pars à la sellerie pour aller chercher se dont j'ai besoin. Soit un kit de pansage comme toujours, une selle et une bride mixtes, un tapis un peu épais, un amortisseur et des guêtres de protections. Je reviens avec tout ce bazar et pose tout devant le box de mon petit oney gris pommelé. Je lui souris et entre dans son box avec l'étrille en main. Je l'étrille bien comme il le faut, surtout là ou je n'avais pas tondu pour l'hiver car nous sommes en plein dans la période de mue. Il perd un amas de poil ahurissant. Je les fais tomber sur la litière du box qui est bientôt prête à changer de toute manière. Ensuite, je bouchone un peu partout avant de passer la brosse douce sur toutes les parties de son corps, nettoyant bien les courrones de ses quatres sabots. Je peigne ses crins et démèle. Pour finir je cure ses pieds et passe un coup de brosse dure pour les rendre le plus net possible, aussi bien extérieurement qu'intérieurement. Tant que je suis à croupis je prends les guêtres turquoises, bien sûr assorties à ma tenue du jour. Je lui mets autour de ses tendons et les ajuste à la bonne densité. Je me redresse et jette un regard à l'expression de mon poney. Il me regarde avec de beaux yeux brillants, tout comme lors de notre première rencontre, ce jour là j'ai tout de suite su qu'il était fait pour moi et que j'étais faite pour lui, l'aider à s'affirmer petit à petit. Je laisse glisser une larme jusqu'au haut de ma joue et l'essaye rapidement avant qu'elle n'ai le temps de continuer sa trajectoire. Je l'aime ce poney et s'il y a bien quelqu'un qui me redonne toujours les moral, c'est lui et lui seul. (dédicace à mon SBS)
"Tu es vraiment une crème toi." lui dis-je en soufflant et prennant sa tête dans mes bras.
Je continue de fixer ses yeux des miens et je vois qu'il les ferme. Je souris et balance la tête en le serrant contre mon coeur, mais sans doute trop fort vu qu'il relève la tête pour m'échapper. Je lui tire la langue gentillement, puis le caresse sur l''épaule gauche. Je commenc eà l'équiper. Je pose mon tapis de balade sur son dos, l'amortisseur pour conserver le papy un maximum et la selle. Je commence à fixer ma vielle sangle, légèrement déchirée sur le coté à cause du port des éperons, sur la droite de l'entier. Je vais de l'autre coter en passant sous l'encolure de mon équidé. Je sangle de quelques trous et me promets de réessayer le sanglage après le montoire et avant de partir m'aventurer dans un paysage encore inconnu avec mon petit doudou. Je lui propose le mors, tenant la tétière d'une main. Il sert ses dents et refuse d'ouvrir sa bouche, je passe deux doigts dans l'une de ses commissures de bouche et chatouille sa langue. Il ouvre et je peux enfin lui inserer le mors de filet. Je boucle toute les attaches asser fort pour pouvoir garder le contrôle et pas de trop pour ne pas l'étrangler. J'enfiles des gants à mes mains pour éviter les cloches si jamais ma monture aurait l'idée de tirer, même si ce n'est pas son genre, ainsi qu'une bombe en cas de chute. Je passe les rênes au dessus de son encolure et claque de la langue pour guider Quelquefois jusqu'au montoir. Je prends un tabouret et monte dessus avec aisance pour ensuite faire de même sur le dos musclé de travail à pied de mon étalon de quatorze ans. Je passe ma jambe gauche devant ma selle et ressangle un bon coup, maintenant que c'est plus facile. Je positionne la pointe de mes pieds dans les étriers, baisse les talons, garde un contact sur mes rênes et bas légèrement des mollet spour demander à ma monture de prendre le pas. Il démarre d'une bonne cadence, tête baissée comme s'il était déjà détendu.
Je reviens de la plage avec mon poney, toujours sur son dos, le sourire radieux. Nous sommes transpirant aussi bien l'un que l'autre, l'un d'avoir galoper et eu peur et l'autre d'avoir subit et essayer de gérer les frayeurs du premier. Cela reste un b on souvenir malgré tou et une belle balade. Je descends pieds à terre au montoir, là où j'ai monté toute à l'heure et raccompagne mon équidé jusqu'à son box. Je le déséquipe entièrement et ramène directement tout jusqu'à la sellerie. Je reviens avec deux demies pommes. Je lui en donne une, il l'attrape avec ses grandes dents et commence à mastiquer. Vu qu'il est intéressé par sa récompense et donc occupé, j'en profite pour nettoyer et curer ses sabots emplis de sable venant du bord de mer, par contre la prochaine fois j'aurais une belle surprise, le sel qu'il y a dans l'eau est très bon pour les sabots des chevaux, ils seront tout beaux, tout propres, sans irrégularités. Je le félicite et vois qu'il à finit, je lui donne l'autre demie pour qu'au final il recoive une pomme entière. Je sors de son box à reculons, le laissant seul pour bien se réposer. Je ferme le loquet tout en ne terminant pas de regarder Quelquefois.
" Ah bientôt mon bisounours !" lui dis-je d'une voie douce et amoureuse avant de prendr ele large vers l'extérieur pour aller me prendre là tête avec mon frère. | |
| | | | axelle.
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| | Sujet: Re: Box de Quelquefois Jeu 11 Juil - 18:16 | |
| Grand timide... Petit gris11/07/2013 Ma co-éleveuse et grande amie était pour les deux semaines à venir en vacances et je lui avais proposé de m'occuper de Quelquefois, sont petit welsh gris qu'elle aimait beaucoup. C'est donc son box que je rejoignais en ce matin déjà chaud et ensoleillé de juillet. Une fois à la porte j'appelais doucement le poney qui me toisa d'un regard surpris, il me voyait souvent passer mais je ne m'étais que très rarement arrêtée devant lui. Je l'appelais encore et après une hésitation il se rapprocha. Je le félicitais, lui offrant une friandise, posée a plat sur ma paume. Il ne se fit pas prier pour la manger. J'attrapais le licol suspendu à coté de la porte puis sans geste brusque entrais dans la résidence du gris. Je flattais son encolure de ma main libre puis lui enfilais le licol. Je le sortais ensuite du box et l'emmenais sur l'aire de pansage. Je l'y attachais et me saisis d'une étrille. Je commençais le pansage avec, la passant sur les parties charnues du corps, encolure, épaules, dos, flancs, reins et croupe. La première couche de crasse soulevée, je prenais le bouchon et la passais sur tout le corps du poney, sauf la tête. Je passais ensuite la brosse douce, partout, avec une délicatesse prudente sur la tête. Je démêlais ses crins et curais ses sabots, voilà le petit entier était propre. J'avais décidé pour cette première fois ensemble de faire de l'éthologie, pour faire connaissance, la séance aurait lieu dans le rond de longe et avec la chaleur les mouches seraient présentes. Je badigeonnais donc le gris de produit répulsif contre les insecte, troquais le licol en nylon contre un licol de corde, attrapais mon stick et direction le rond de longe Rond de longeAprès une bonne séance, je ramenais le poney à l'écurie, sur l'aire de préparation où j'échangeais les licols. Je lui offrais un nouveau pansage, commençant directement avec le bouchon, la séance n'ayant pas été très "dure" il n'avait pas ou peu sué. Je brossais tranquillement, jusqu'à rendre tout son éclat et sa propreté à son poil. Je passais ensuite la brosse douce, curais ses pied et y appliquais une couche d'onguent blond pour entretenir l'élasticité de la corne. Je terminais par l'entretien des crins, le détachais de son attache et le ramenais à son box. Je le caressais encore un peu, lui montrant que j'avais apprécié ma séance avec lui avant de lui retirer le licol et quittais son box. | |
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| | Sujet: Re: Box de Quelquefois Jeu 18 Juil - 11:13 | |
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